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Last Night in Soho Avis critique du film (2021)

C’est une merveilleuse configuration pour Ellie jusqu’à ce qu’elle commence à rêver d’être Sandy (Anya Taylor-Joy), une jeune femme blonde échangiste qui a vécu en 1966 à Londres. Bientôt, les frontières entre réalité et fantasme s’estompent, et les rêves d’Ellie deviennent des cauchemars. Co-écrit avec Krysty Wilson-Cairns (« 1917 »), « Last Night in Soho » de Wright est drôle et chaotique, élégant et élégant, et s’effondre dans sa seconde moitié déroutante.

La première section de « Last Night in Soho » chante à travers le penchant de Wright pour les chutes d’aiguilles pointues : des chansons comme « Downtown » de Petula Clark, « Got My Mind Set on You » de James Ray et « A World Without Love » de Peter et Gordon. toe tap les aventures d’Ellie à travers Londres. La jeune femme est une sorte de graine de foin, éblouie par ce qu’elle a lu sur la grande ville, et à la recherche du Londres qu’elle a entendu dans ses chansons préférées. La façon dont McKenzie joue Ellie n’est pas sans rappeler son tour de Tom dans « Leave No Trace ». C’est une étrangère prise dans un pays étrange, essayant de réparer sa déconnexion d’un parent. Elle utilise sa nostalgie des années 60 comme filet de sécurité, achetant éventuellement des vêtements de l’époque et changeant ses cheveux en blond.

La prémisse initiale de « Last Night in Soho » frappe également. En tant que fille de la campagne vivant désormais dans la grande ville, elle doit éviter les éléments lascifs. Lors d’un trajet en taxi, par exemple, le chauffeur commence à commenter ses jambes et veut savoir si d’autres modèles vivent avec elle. Wright veut faire de ce film non seulement une mise en garde contre la nostalgie aveugle, mais une critique des hommes sales et toxiques.

Ce crochet central fait allusion à ce dernier thème, que quand Ellie dort elle non seulement voit Sandy, Ellie devient Sablonneux. Des effets ingénieux et une mise en scène ingénieux permettent à l’élégant Sandy d’entrer dans un club branché et fabuleux des années 1960, en descendant un escalier, devant un mur fait de miroirs. D’un côté des miroirs se trouve Sandy. De l’autre, Ellie. Les deux personnages, cependant, sont aux antipodes. Contrairement à la timide Ellie, Sandy se pavane avec la confiance d’un mannequin de défilé. Elle sait ce qu’elle veut. Et elle pense qu’elle sait comment l’obtenir.

Là où le film de Wright commence à faiblir, c’est avec son méchant. Vous voyez, Sandy passe sous l’œil vigilant de Jack (Matt Smith), un agent pompadour portant des rayures qui représente toutes les filles. À l’insu de Sandy, Jack est un proxénète. Et il utilise sa soif de gloire contre elle en promettant de la façon dont se proposer elle-même aidera sa carrière. Alors qu’Ellie en vient à le craindre, le public ne le fait pas. Il est inexact de dire que le concept de Jack ne ferait pas un méchant haïssable. Mais Wright ne construit pas suffisamment ce personnage pour qu’il soit plus qu’un croque-mitaine.

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