Tetris Avis critique du film & résumé du film (2023)

Taron Egerton incarne Henk Rogers, le fondateur d’une société appelée Bullet-Proof Software, et un homme qui est tombé sur l’héritage de Tetris lors d’une convention de jeu dans son nouveau pays d’origine, le Japon. Il réalise instantanément le potentiel d’un jeu qui n’avait pas encore fait le tour du rideau de fer dans une autre partie du monde que Tokyo. Et il en veut un morceau. Rogers raconte « Tetris », un film compliqué sur un jeu simple. Il ne s’agit que d’un ensemble de blocs qui tombent, mais les détails sur les parts de marché, les droits légaux et la politique de la guerre froide sont à l’origine de cette intrigue, pas du jeu lui-même. Rogers est un acteur de bas niveau dans le monde du jeu, et pour obtenir les droits sur quelque chose comme Tetris, il faudra naviguer entre des personnalités influentes dans les affaires et la politique.

Un acte d’ouverture hyperactif qui utilise des graphismes 8 bits et la narration d’Egerton un peu trop chaotique, « Tetris » s’installe lorsque Rogers arrive en Russie (mais devient un peu moins divertissant). À ce stade, il a parié l’avenir financier de sa famille sur cette perspective, et Egerton, de plus en plus fiable, vend intelligemment l’incapacité de Henk à accepter un refus, même lorsque le KGB est impliqué. Alors qu’il essaie d’obtenir les droits de vendre Tetris à Nintendo afin qu’ils puissent le regrouper avec leur nouvel ordinateur de poche, il rencontre l’homme qui a réellement inventé le jeu, Alexey Pajitnov (Nikita Yefremov), et il fait de la récompense du créateur du jeu une partie de son mission. Lorsque Rogers suggère qu’il vienne discuter avec Alexey peu de temps après l’avoir rencontré, il semble surpris d’apprendre que ce n’est pas autorisé en Russie. Pas d’invités étrangers. C’est dans ce genre de structure que Rogers essaie de naviguer. Il ne connaît pas la langue. Il ne connaît pas les lois. Il s’en fiche parce que rien ne va l’arrêter.

Ce n’est pas seulement la bataille du communisme contre le capitalisme qui se dresse sur le chemin de Henk Rogers. Dans les années 80, un véritable méchant des affaires était sur la scène sous la forme de Robert Maxwell, joué ici par Roger Allam. Maxwell possédait le groupe Mirror, qui publiait le Daily Mirror, entre autres, et était une figure fascinante et source de division dans les affaires et la politique mondiales. (Il avait aussi une fille nommée Ghislaine. Oui, celle-là.) Son fils Kevin (Anthony Boyle) essaie d’attirer l’attention de papa et du monde en profitant de Tetris, qui permet aux Maxwell de devenir les personnalités de la « grande entreprise » qui se dresser sur leur chemin, avec le négociateur de Toby Jones, Robert Stein, au milieu. En Russie, Rogers se heurte aux autorités russes à chaque tournant, y compris une figure imposante de la société d’Alexei nommée Nikolai (Oleg Shtefanko) et un dur à cuire russe classique nommé Valentin (Igor Grabuzov), qui menace littéralement de jeter un enfant par la fenêtre à un point, soulignant que tout tombe au même rythme. (Comme Tetris ! Compris ?!?)

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