homepage_no_way_home-8744519-7585641-jpg

Spider-Man: No Way Home Avis critique du film (2021)

Remarque : je vais très évitez soigneusement les spoilers mais restez hors ligne jusqu’à ce que vous le voyiez, car il va y avoir des mines terrestres sur les réseaux sociaux.

« No Way Home » reprend immédiatement après la fin de « Spider-Man: Far From Home », avec le son de la scène de clôture de ce film jouant sur le logo Marvel. Mysterio a révélé l’identité de l’homme au collant rouge, ce qui veut dire que plus rien ne sera plus jamais pareil pour Peter Parker (Tom Holland). Avec une énergie presque burlesque, « No Way Home » s’ouvre sur une série de scènes sur les pièges de la célébrité, en particulier sur son impact sur la petite amie de Peter, MJ (Zendaya) et son meilleur ami Ned (Jacob Batalon). Il atteint un sommet lorsque le MIT refuse l’admission à tous les trois, citant la controverse sur l’identité de Peter et les rôles que ses copains ont joués dans ses super-aventures.

Pierre a un plan. Le « sorcier » qu’il a rencontré lorsqu’il a sauvé la moitié de la population avec The Avengers peut lancer un sort et tout faire disparaître. Il demande donc au Dr Strange (Benedict Cumberbatch) de faire oublier au monde que Spider-Man est Peter Parker, ce qui, bien sûr, se retourne immédiatement contre lui. Il ne veut pas que MJ ou Ned ou tante May (Marisa Tomei) oublient tout ce qu’ils ont vécu ensemble, et donc le sort déraille au milieu de celui-ci. Strange le contrôle à peine. Et puis Doc Ock (Alfred Molina) et le Bouffon Vert (Willem Dafoe) se présentent.

Comme les avant-premières l’ont révélé, « Spider-Man: No Way Home » tisse des personnages et une mythologie des autres itérations cinématographiques de ce personnage dans l’univers de l’actuel, mais je suis heureux d’annoncer que c’est plus qu’un gadget de casting. Ma préoccupation au départ était qu’il ne s’agirait que d’un cas de « Batman Forever » ou même de « Spider-Man 3″, où plus était souvent l’ennemi du bien. Ce n’est pas. Les méchants qui reviennent des films de Sam Raimi et Marc Webb ne surchargent pas le récit autant qu’ils parlent d’un thème qui émerge dans le film qui relie toute cette série aux autres. Pendant une génération, la phrase à propos de Spidey était « Avec un grand pouvoir vient une grande responsabilité. » « Spider-Man: No Way Home » parle du Peter Parker moderne qui apprend ce que cela signifie. (Cela aide également un super accord pour avoir à nouveau des acteurs comme Molina et Dafoe dans des rôles de méchant étant donné que le manque de méchants mémorables a été un problème dans le MCU.)

Publications similaires