Downton Abbey: A New Era Avis critique du film (2022)

Ce que je veux dire, dans la mesure où j’en ai un, c’est qu’il s’est passé beaucoup de choses dans cette saga. En reconnaissance de cela, « Downton Abbey: A New Era » commence avec Kevin Doyle, qui joue le rôle du majordome devenu instituteur Molesley, s’adressant directement au public et lui donnant un peu de rattrapage. Cela semble un peu maladroit, parce que ça l’est. D’autre part, dans les opéras spatiaux, le rattrapage se fait généralement via un crawl imprimé et pour ce récapitulatif, un crawl imprimé pourrait bien atteindre des longueurs proustiennes. En tous cas. J’ai trouvé le tout un peu gratuit parce que si le préambule est assez bon sur le who’s-who, les deux fils de l’intrigue qui poussent ce film sont relativement sans rapport avec ce qui s’est passé auparavant.

Fil un: Maggie Smith’s Violet, la comtesse douairière littérale de l’abbaye et mère de son comte très apprécié, Robert (Hugh Bonneville) apprend qu’une vieille connaissance lui a légué une villa entière dans le sud de la France. Très vieux – ils se sont vus pour la dernière fois dans les années 1860, et nous sommes aux alentours de 1928 maintenant. Une grande partie de la famille est invitée à visiter l’endroit et on craint que les proches de la vieille connaissance ne veuillent pas abandonner le joint. Alors Robert, sa femme d’origine américaine Cora (Elizabeth McGovern) et le très bon majordome de Robert, Carson (Jim Carter), embarquent pour Nice ou dans les environs.

Ils sont contents de voyager car une équipe de tournage va investir l’Abbaye pendant un mois. Tous les croustillants supérieurs, et Carson, frémissent à l’idée d’héberger des gens vulgaires « kinema », mais les serviteurs sont partout. La production paie une belle somme, et comme le souligne Lady Mary (Michelle Dockery), l’une des filles de Robert, qui dirige l’endroit, le toit peut être réparé et l’argent est actuellement trop serré pour être mentionné. Voici donc les cinéastes: le beau réalisateur Jack Barber (un jeu Hugh Dancy), le fringant homme principal Guy (Dominic West) et la glamourpuss coincée Myrna (Laura Haddock). Alors que Guy parle dans des tons très arrondis et pruniers, Myrna, malgré son attitude, a un vrai klaxon de Cockney. Vous pouvez voir où va ce fil.

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