The Son Avis critique du film & résumé du film (2022)

Peter est un professionnel très prospère qui a des réunions importantes sur des questions financières dans un grand bureau avec une vue impressionnante sur les toits de Manhattan. Il est marié à Beth (Vanessa Kirby) et ils ont un bébé nommé Theo. Ils vivent dans un bel appartement aux murs de briques apparentes avec goût. Au début du film, Beth apaise Theo pour qu’il s’endorme avec une berceuse et Peter leur sourit. Ils forment une famille parfaite et heureuse. Mais Kate (Laura Dern) sonne à la porte. Elle est la première épouse de Peter et elle a de mauvaises nouvelles concernant leur fils de 17 ans, Nicholas (Zen McGrath). Depuis un mois, il ne s’est pas présenté à l’école.

Nicholas emménage avec Peter, Beth et Theo et commence dans une nouvelle école. Peter est convaincu que les choses tournent autour pour Nicholas. Ils ne sont pas.

Il n’y a rien de plus douloureux que d’avoir un enfant qui souffre, et il est peut-être compréhensible que Peter et Kate nient la gravité de la lutte pour Nicholas. Mais dans le Manhattan du 21e siècle, il est inimaginable que des parents riches soient si désemparés, impliqués eux-mêmes et déconnectés des ressources disponibles pour gâcher si mal leur réponse. Il y a des scènes touchantes, en particulier une où Kate, avec Dern extrêmement vulnérable, dit à Peter qu’elle sent qu’elle a échoué. Et Hopkins, en tant que père glacial de Peter, est curieusement narcissique.

La scène est destinée à se connecter au reste de l’histoire et à éclairer les conflits de Peter et sa tendance à considérer son fils comme un baromètre de son succès. Mais ça tombe court. Le film nous donne parfois une idée de l’impact implacable de la maladie mentale sur les soignants; comment un membre malade de la famille, surtout un enfant, écrase l’esprit de ceux qui s’en soucient le plus. Quand il finit par s’emporter, cependant, il s’agit plus de ses sentiments que de ceux de Nicholas et ses tentatives désespérées d’ordonner essentiellement à son fils d’aller mieux sont dépeintes avec plus de sympathie de la part de Zeller qu’elles ne le méritent de notre part.

A lire également