Sundance 2021: Marvelous and the Black Hole, Together Together, My Name is Pauli Murray | Festivals & Awards

Margot reconnaît cette angoisse au sein de Sammy, et essaie plutôt de la détourner avec de la magie, tandis que Cech fait face à une angoisse qui se manifeste parfois par des rêveries violentes (mais amusantes). Les scènes dans lesquelles Margot enseigne la magie de Sammy sont charmantes, et mieux encore, elles donnent à la magie un sens plus profond. Le film donne l’impression que les tours de cartes et les lapins en voie de disparition semblent à portée de main – il pourrait même inspirer les téléspectateurs à le faire – et dans le cadre de la narration. Que montrer les mécanismes secrets de la magie fasse bannir Tsang des sociétés de magiciens – ou une statue en son honneur – je ne peux pas le dire, mais de toute façon son penchant contagieux pour la magie en vaut la peine.

Tsang se révèle très intelligente avec la formule et utilise cette excellente chimie entre Cech (elle a un moyen avec une doublure barbelée) et Perlman. Ils sont colorés, opposés et vous voulez les encourager individuellement et en duo. C’est aussi formidable de voir comment le film garde Margot infiniment charismatique de Perlman plus d’un point d’interrogation, non seulement parce qu’elle est une magicienne, mais pour qu’elle puisse créer son propre espace dans le trope d’un mentor sage et plus âgé.

Aussi large que puisse être « Marvelous and the Black Hole », l’histoire fonctionne instant après instant, à tel point que vous êtes excité par le point culminant qui rassemble inévitablement tout cela. Le film trouve un équilibre idéal entre la famille et la comédie: il convient aux téléspectateurs qui sont peut-être nouveaux dans son message, mais il peut toujours charmer les téléspectateurs plus âgés qui savent qu’une formule peut être magique – cela dépend juste de ce qui se trouve dans la manche du réalisateur.

«Attachant» est un autre mot qui décrirait certainement l’ensemble de «Ensemble ensemble», Qui a été créée au festival dans le cadre de son US Dramatic Competition. Le scénariste / réalisateur Nikole Beckwith se concentre sur deux personnes partageant une expérience dont on n’a pas beaucoup parlé dans le cinéma.

Patti Harrison joue dans le film comme Anna, une femme de 26 ans qui a été embauchée par Matt (Ed Helms) pour porter le bébé auquel il sera père célibataire. Dès le début, le script de Beckwith a une approche intrigante de leurs différentes situations de vie, reconnaissant pourquoi ils se sont retrouvés seuls et ce qu’ils sont prêts à faire pour arriver là où ils vont ensuite. Et aussi depuis le début, Matt est particulièrement pointilleux et névrosé sur ce qu’Anna fait avec son corps (y compris le thé qu’elle boit ou le fait qu’elle a des relations sexuelles), ce qui révèle son côté plus agressif dans certaines des blagues plus larges du script. D’autant qu’elle arrive au deuxième et au troisième trimestre, l’expérience les rapproche; tL’héritier compliqué mais platonique de l’amitié est un acte d’équilibre inspiré du scénario qui sait une chose ou huit sur la maladresse ou la solitude.

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