Peacock’s Droll Bupkis Wants Us to Take Pete Davidson Seriously | TV/Streaming

Cela raconte comment la série sous-utilise les personnages familiaux, comme ceux joués par Joe Pesci (en tant que son grand-père bourru) et Brad Garrett (un oncle chéri), ​​pour des arcs minces sur Pete décevant ses proches. Edie Falco travaille davantage en tant que mère qui veut soutenir son fils mais qui est blessée par chaque fiasco public. D’un seul coup, elle croit à un canular sur sa mort, surtout quand elle ne peut pas entrer en contact avec lui, alors que la seule chose qui est morte est l’iPhone de Pete.

Co-créé par Davidson, Judah Miller et Dave Sirus, « Bupkis » a quelques idées mûres dans son esprit qui interagissent avec ses manigances, mais il ne plante pas beaucoup de ces idées assez profondément pour qu’elles grandissent. Au lieu de cela, c’est comme si Davidson et sa compagnie voulaient confirmer qu’il pensait au vieillissement, à la toxicomanie, éventuellement à fonder une famille et à faire plus. Mais cela se présente comme figuratif, et l’intrigue lâche et sans surprise montre clairement à quel point « Bupkis » ne veut pas donner suite à ces idées mais les laisse comme désordonnées ou inachevées et les ignore comme de l’art.

Le meilleur épisode arrive à mi-chemin, dans lequel Simon Rex de « Red Rocket » (canalisant son alter ego rappeur Dirt Nasty) co-dirige une parodie « Fast & Furious », avec des voitures colorées en formation rapide, des chansons extraites du des films et une leçon sur la famille de fortune de Davidson. C’est un pastiche de culture pop sucré qui convient à une émission qui aime sa place dans les médias et « Bupkis » pourrait utiliser plus de cette chutzpah. C’est aussi un moment où « Bupkis » vise plus haut que son mode habituel : il suffit de traîner avec Pete Davidson et les personnes avec lesquelles il a des relations tendues, notamment son manager/ami débordé, sa sœur, son navire de situation de longue date, son entourage de stoner, et plus encore.

Tout comme Apatow, « Bupkis » aime un caméo surprenant. Les camées sont une grande partie de ce monde, où des personnes célèbres entrent et sortent, jouant elles-mêmes (y compris Jon Stewart, Ray Romano, John Mulaney, LaLa Anthony, Jadakiss et bien d’autres) ou des personnages aléatoires. Finalement, les apparences perdent de leur éclat, ce qui est important compte tenu du nombre de personnes entassées. Sans le vouloir, « Bupkis » devient la lumière tamisée de la célébrité, avec Davidson comme source d’alimentation.

Tout au long, la série drôle ne parvient pas à répondre à ce qui rend Davidson si spécial, pas seulement célèbre. Un véhicule comme celui-ci doit refléter le talent de son leader. « Seinfeld » avait au moins les jeux interstitiels interstitiels de Jerry, ou « Dave » a les fils lyriques impressionnants de Lil Dicky sur son pénis. « Bupkis » n’a pas une écriture assez solide pour que Davidson y soit associé; son imagination le vend court. Et s’il avait de plus grandes ambitions d’être plus drôle, cela ne ferait pas de mal. Nous obtenons de ce spectacle que Davidson est prêt à être pris plus au sérieux, mais il est encore trop flou de savoir pourquoi nous devrions le faire.

Toute la saison a été projetée pour examen. Les huit épisodes de « Bupkis » seront diffusés sur Peacock le 4 mai.

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