The Power Avis critique du film & résumé du film (2021)

Ce texte préliminaire suggère une compréhension en classe de ce qui arrive à Val (Rose Williams), une infirmière stagiaire douce qui étudie «le lien entre la pauvreté et la santé» (ses mots) lorsqu’elle est visitée et possédée par un fantôme à l’infirmerie de l’Est de Londres. .

Le sujet d’étude de Val vaut la peine, tout comme l’attention des cinéastes sur les nombreuses petites façons dont Val est pressé (à la fois socialement et professionnellement) de se taire sur, euh, tout ce qui se passe à l’hôpital. Malheureusement, la chaîne de commandement de l’infirmerie est souvent plus intéressante que les secrets que Val doit garder sous sa casquette d’infirmière. Et alors que les abus systémiques sont souvent accablants car de son universalité, les détails incitants des problèmes de Val sont trop impersonnels pour être dérangeants.

Il n’est donc pas surprenant que Val, étant un type de bienfaiteur doux mais bien intentionné, prenne un moment pour découvrir ce qui se passe vraiment à l’infirmerie de l’Est de Londres. D’abord, elle embarrasse accidentellement son superviseur, la matrone marmonne de l’école (Diveen Henry), qui avertit Val qu’elle doit suivre les instructions de la matrone sur la façon de porter son uniforme de travail (jupe trois pouces sous les genoux) et quand parler aux médecins du personnel. (à peu près jamais, car «ils communiquent au-dessus de votre niveau»).

Val n’enfreint pas ces règles volontairement: elle a posé des questions impertinentes (par exemple: pour son opinion professionnelle) par le jeune et exceptionnellement chaleureux Dr Franklyn (Charlie Carrick). Le statut de Franklyn présente un dilemme crédible-si-vous-faites / damné-si-vous-ne-pas, le genre qui survient souvent lorsque vous recevez des instructions contradictoires de deux patrons différents. La matrone de l’hôpital punit Val en l’affectant à l’équipe de nuit le premier jour. Cette décision conduit inévitablement Val à découvrir quelque chose qui hante ou non l’infirmerie.

Je dis «inévitablement» parce que «The Power» est un film de possession, avec des collègues spasmodiques et incrédules, et un pré-adolescent effrayé qui essaie et échoue à avertir tout le monde des dangers qui surviennent (principalement) la nuit. La plupart des éléments de cette liste de contrôle formule sont assez bien utilisés, mais aucun d’entre eux n’est surprenant ou si bien réalisé qu’ils sont toujours convaincants.

En fait, les parties les plus faibles de «The Power» sont celles où une ambiance sombre et mélancolique est censée porter le film, surtout lorsqu’une présence invisible prend le contrôle du corps de Val et la secoue comme une poupée de chiffon. La plus mémorable de ces scènes est celle où une main invisible soulève la jupe de Val sur ses genoux, qui sont présentés par derrière; un refrain de gémissements fantomatiques, Penderecki-esque peut être entendu sur la bande originale, mais cela n’ajoute pas grand-chose à la séquence. Je ne sais pas si c’est l’image pour laquelle vous voulez que votre film de genre se souvienne, mais il se démarque, ne serait-ce que pour sa gentillesse au freinage.

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