The Monkey King Avis critique du film & résumé du film (2023)
Raconter une partie de la première section de Voyage à l’ouest, « The Monkey King » est centré sur le personnage le plus aimé de ce tome, exprimé un peu ennuyeux par un Jimmy O. Yang incohérent. Se considérant plus qu’un simien ordinaire, Le Roi Singe s’efforce d’être un immortel, et pour en être un, il doit vaincre 100 démons avec son bâton magique (Nan Li), une idée astucieuse rendue ici en sourdine. Il finit par s’associer avec une fille nommée Lin (Jolie Hoang-Rappaport) lors de son voyage dans l’histoire mythologique, et le partenariat entre un singe convaincu qu’il est un héros et une fille convaincue qu’elle ne pourrait jamais en être une donne un film qui était trop perdre de manière narrative une structure indispensable (bien qu’il soit intéressant de noter que Lin est une création de cette version de ce conte et non la source).
« The Monkey King » tire sa plus grande force visuelle et de caractère du Dragon King, une création chantante, dansante et folle de pouvoir bien exprimée par Bowen Yang de « Saturday Night Live ». Véritable méchant dans une pièce qui n’en a pas depuis trop longtemps, le démon égocentrique de Yang donne à l’acte final de « The Monkey King » des enjeux nécessaires et une chorégraphie de combat bien conçue, avec l’aimable autorisation de Siwei Zou. Lorsque le film canalise occasionnellement le sens de la fantaisie des arts martiaux de Chow, il trouve un certain élan. Mais il s’arrête régulièrement pour une conversation générique entre Monkey et Lin ou une autre rencontre épisodique en cours de route, souvent marquée par un riff de heavy metal qui se trompe fort pour excitant.
Bien sûr, « The Monkey King » finira par donner quelques leçons, dont une sur le personnage principal devenant trop puissant pour son propre bien dans l’acte final. Que le scénario de Ron J. Friedman, Stephen Bencich et Rita Hsiao inclue le véritable Bouddha dans son apogée pourrait conduire à quelques conversations intéressantes avec les plus petits sur la paix, l’acceptation et la croyance. Cependant, comme tant d’aspects de « The Monkey King », cela ressemble plus à une invite qu’à une conversation réelle.
Netflix a excellé au cours des dernières années avec certaines des meilleures animations du marché. Des projets comme « Guillermo del Toro’s Pinocchio » et « The Mitchells vs. the Machines » ont reçu beaucoup d’attention méritée, mais il y a aussi eu de nombreux films familiaux moins connus qui présentaient beaucoup plus d’ambition que ce que l’on voit souvent dans les théâtres (« Klaus, » « La bête de la mer », « Les Willoughby » et plus encore). J’ai approché « The Monkey King » avec l’espoir que ce pourrait être le classique animé surprise de Netflix en 2023. Il ne rejoindra pas de sitôt les immortels de la forme.
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