homepage_the-kings-man-movie-review-2021-4704634-9724954-jpg

The King’s Man Avis critique du film & résumé du film (2021)

« Kingsman: The Secret Service » a clairement indiqué que Matthew Vaughn voulait vraiment faire un film de James Bond, de préférence un de l’ère la plus ridiculement conçue où 007 pourrait éventuellement aller dans l’espace pour accomplir une mission. Fait intéressant, « The King’s Man » est un film d’espionnage plus traditionnel pendant la majeure partie de sa durée, se concentrant sur l’intrigue et l’espionnage plus que sur les gadgets et les explosions. Il centre également un homme qui aurait clairement pu être Bond dans un univers alternatif, Ralph Fiennes, un acteur qui donne toujours tout, même lorsqu’un film ne sait pas trop quoi en faire.

Fiennes joue Orlando Oxford, l’homme qui fondera l’opération secrète qui a centré les deux premiers films, et, apparemment, jouera un rôle majeur dans plusieurs événements liés à la Première Guerre mondiale. Le duc d’Oxford est un allié important du roi George (Tom Hollander, qui joue également le Kaiser Wilhelm et le Tsar Nicholas dans un choix de casting certes amusant) à l’époque où il semble qu’un conflit violent est inévitable. Oxford démarre essentiellement son propre réseau d’espionnage avec l’aide de Shola (Djimon Hounsou) et Polly (Gemma Arterton), deux génies qui se trouvent également être des serviteurs de son domaine, capables de se cacher à la vue de nombreux hommes blancs privilégiés les ignorent. Oui, une idée intéressante, mais « The King’s Man » n’en fait presque rien, bien que Hounsou et Arterton soient deux des points forts du film (donnez-leur un spin-off axé sur l’action).

Pendant ce temps, un méchant qui n’a vu que de dos pendant près de deux heures de la durée du film prévoit de plonger le monde dans le chaos avec l’aide de son propre réseau d’espions, dont Rasptuin (Rhys Ifans) lui-même. Alors que la guerre devient plus sanglante, Oxford lutte pour garder son fils Conrad (Harris Dickinson) du front, prêchant le pacifisme et la protection dans la mesure du possible. Et pourtant, le film continue de repousser cela jusqu’à ce qu’il semble presque suggérer que les horreurs de ce monde transformeront même les messieurs les plus honnêtes en machines à tuer. La Grande-Bretagne, putain ouais !

Publications similaires