Netflix’s FUBAR is a Depressingly Routine Comeback Vehicle for Arnold Schwarzenegger | TV/Streaming

Arnold joue Luke Brunner, un espion qui est sur le point de prendre sa retraite – la star a 75 ans, après tout – lorsqu’il est appelé pour une dernière mission pour sauver un atout de l’emprise d’un méchant nommé Boro (Gabriel Luna). Brunner peut facilement passer derrière les lignes ennemies car il connaît Boro depuis qu’il est enfant. En fait, il l’a aidé à grandir, en grande partie par culpabilité d’avoir tué le méchant père de Boro. Eh bien, cela n’a pas fonctionné parce que Boro est le même genre de maniaque méchant et avide de pouvoir qui est toujours à la recherche de quelque chose d’effrayant comme une bombe sale ou une matière nucléaire.

Lorsque Brunner arrive dans l’enceinte de Boro, il est surpris de découvrir que l’agent d’infiltration qu’il doit sauver est sa fille Emma (la bien castée Monica Barbaro). D’une manière ou d’une autre, le fait que les deux Brunners soient des super-espions est une information qu’ils ont pu cacher l’un à l’autre et à d’autres êtres chers comme l’ex-femme de Luke, Tally (Fabiana Udenio) et le petit ami d’Emma, ​​Carter (Jay Baruchel). Et ainsi «FUBAR» devient une séquence alternée de missions d’espionnage et de conversations thérapeutiques entre père et fille, parfois littéralement avec un psy de la CIA surnommé le Dr Pepper (Scott Thompson). L’idée que les Brunners sauvent le monde et résolvent ensuite TOUS les problèmes familiaux de toute leur vie comme s’ils n’avaient jamais eu de conversation auparavant finit par être l’épine dorsale de la série. C’est plus qu’un peu ridicule, mais c’est la répétition qui draine vraiment « FUBAR ». Si je devais entendre une fois de plus comment Luke n’était pas là pour Emma ou comment Emma pourrait répéter les mêmes problèmes que son père dans sa nouvelle relation, j’aurais sauté de l’avion espion que ces deux-là habitent souvent.

Pour être juste, les épisodes prennent du temps pour mettre en évidence quelques joueurs de soutien. « FUBAR » ressemble souvent à l’une de ces émissions de l’acronyme CBS (« NCIS », « SWAT », etc.) dans laquelle le bel homme principal et la magnifique femme principale sont entourés de joueurs de soutien sages pour alléger l’ambiance. Dans ce cas, c’est l’intelligent Barry (Milan Carter) qui a le béguin pour la nouvelle fille, Tina (Aparna Brielle). Les alliés les plus proches de Luke sur le terrain sont le suave Aldon (Travis Van Winkle) et le sarcastique Roo (Fortune Feimster). Van Winkle se comporte suffisamment comme une star pour être intéressant, mais ces non-personnages râlent plus souvent qu’ils n’intriguent. J’ai trouvé la parade nuptiale de Tina et Barry particulièrement ennuyeuse. Les voir enfin devenir un couple, c’est comme regarder des enfants dans une émission de Nickelodeon découvrir des rencontres.

A lire également