Mrs. Davis Overflows with Fascinating Ideas Even as It Struggles to Tie Them Together | TV/Streaming

La phénoménale Betty Gilpin (« GLOW ») incarne Simone, une nonne qui a consacré sa vie à Jay (Andy McQueen), une figure magnétique qui travaille dans un restaurant, prépare des falafels pour Simone et lui donne des billets pour des travaux à faire de son patron , une force invisible derrière la porte de la cuisine. Les billets sont des cibles que Simone doit démasquer. Par exemple, lors de la première, elle se présente à temps pour empêcher un groupe de magiciens d’escroquer quelqu’un – des personnes qui utilisent l’artifice et la ruse pour diminuer le rôle de la croyance dans ce monde. Simone se voit finalement attribuer un grand objectif – Mme. Davis, une IA comme Siri ou Alexa, fait désormais partie du tissu de toute la population américaine. Mme Davis semble être une force pour le bien, en particulier dans la façon dont le programme encourage les actes de gentillesse pour donner aux utilisateurs des « ailes » qui les identifient comme des personnes décentes. Mais Simone sait qu’il y a quelque chose qui ne va pas avec une IA aussi puissante, et pas seulement parce que c’est comme adorer un faux Dieu.

C’est compris? Ce n’est que la pointe d’un iceberg narratif qu’il est presque impossible de mettre dans un paragraphe de résumé de l’intrigue. Je ne suis même pas arrivé au cow-boy nommé Wiley (Jake McDorman), l’ex-petit ami de Simone qui dirige un groupe d’hommes musclés citant des films d’action qui forment leur propre résistance contre Mme Davis. Ou qu’en est-il des parents de Simone ? Son père (David Arquette) était un magicien qui est mort en faisant un tour impossible, mais sa mère (Elizabeth Marvel), désormais experte en sécurité, ne pense pas que Pop soit réellement parti. Et la majeure partie du complot est conduite par Simone essayant de mettre la main sur le Saint Graal, ce qui conduira à la disparition de Simone. Ouais, ce Saint Graal. Si cela ne suffit pas, il y a même un personnage nommé Schrodinger (Ben Chaplin). Et il a un chat.

La principale chose qui détient « Mme. Davis » ensemble thématiquement est l’iconographie. Rien que l’image d’une nonne et d’un cow-boy traversant le monde évoque des thèmes de religion, d’Americana, d’héroïsme, de foi, etc. de l’image du héros dans la société, et a donc décidé de se demander ce qui motive la culture, en bien ou en mal. Il en résulte un spectacle débordant d’idées qui ne se concrétisent pas toujours en un tout cohérent. L’ambition de la série peut parfois s’emmêler, comme dans le quatrième épisode, qui plonge directement dans le centre religieux du monde d’une manière plus aléatoire que perspicace.

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