FX on Hulu’s The Old Man is a Bold, Wise Vehicle for Jeff Bridges | TV/Streaming

Le personnage de Bridges est un homme mystérieux connu sous de nombreux noms, mais il est surtout connu sous le nom de Dan Chase. Lorsque nous le rencontrons pour la première fois, Chase vit dans une ville tranquille avec ses deux Rottweilers très obéissants, prenant des appels téléphoniques inquiets de sa fille au sujet de son état de santé décroissant. La vie harmonieuse de Chase est perturbée lorsque quelqu’un vient chez lui et essaie de lui tirer dessus avec un silencieux – ce n’est pas une effraction ordinaire, et l’attention de la police locale sur la scène du crime le pousse à faire ses valises. Chase reçoit un appel d’un vieil ami, une figure de proue de la CIA nommée Harold Harper (un John Lithgow sombre et endolori), que nous voyons debout devant un jet géant avec de nombreux agents prêts à se disperser. Harper prévient Chase que Chase est actuellement chassé pour être capturé. Harper lui offre une dernière chance : disparaître pour toujours, et cet appel téléphonique peut être leur dernier, et leur secret. Mais s’il résiste, Harper et la CIA poursuivront sa fille, le seul lien humain que Chase a après le décès de sa femme.

Chase n’accepte pas l’offre de Harper, ce qui brise le cœur de son ami, et lance une chasse au présent inspirée par les actions du passé. Chase et Harper remontent plus loin qu’ils ne veulent s’en souvenir, à un accord désordonné au Moyen-Orient et au meurtre de Russes, mais pour « le mauvais côté ». Les détails peuvent d’abord prêter à confusion, et ils sont toujours compliqués. Il s’agit d’optique politique laide, d’un seigneur de guerre et de la femme qui est devenue l’épouse de Chase, le tout mélangé avec l’air d’être des jours anti-gloire. Ces flashbacks montrent également l’engagement de la série envers ses personnages – les deux sont joués à fond par de jeunes acteurs, avec Bill Heck faisant claquer les lèvres contemplatives de Bridges et Christopher Redman clouant les cadences de Lithgow.

Basé sur le livre de Thomas Perry, « The Old Man » affiche sa propre conscience que la vie est une histoire. Il ne s’agit pas seulement des peintures qui introduisent l’épisode, mais de la façon dont les personnages parlent de ces rebondissements comme d’une histoire, comme d’un jeu qui n’a peut-être pas de sens pour les gens en dehors de celui-ci, qui est en cours et en sommeil. Dans les salles de conférence sombres et stériles du bureau de la CIA, Harper détient des secrets sur Chase tout en étant poussé par un nouveau type dans le bureau, Raymond (EJ Bonilla). Raymond n’a aucune idée de ce qui motive vraiment sa chasse à Chase; personne ne le fait. Les relations sont leurs propres histoires, et cette série en a beaucoup qui sont entourées de secret, à tel point qu’elles sont utilisées pour des rebondissements qui ne font qu’accroître à quel point cela est personnel pour tout le monde.

A lire également