Crater Avis critique du film & résumé du film (2023)

Vivant en 2257, Caleb (Isaiah Russell-Bailey) est en deuil. Son père (Kid Cudi) est récemment décédé au travail, le laissant orphelin dans la colonie minière lunaire qu’ils appellent chez eux. Parce que ses parents sont morts, il a la possibilité de se rendre sur la planète paradisiaque Omega, un voyage de 75 ans qui l’obligera à être congelé cryogéniquement. Pour Caleb, c’est une chance d’être élevé de la pauvreté à une sorte d’utopie. La situation du jeune homme est cependant loin d’être idéale. Il ne veut pas quitter son cadre d’amis : Dylan (Billy Barratt), par exemple, vient d’une famille troublée ; Borney (Orson Hong) vit dans la peur des histoires de fantômes que son frère aîné lui raconte. et Marcus (Thomas Boyce) se bat contre une hypertrophie du cœur. Ils savent que Caleb part bientôt, pour toujours, et veulent faire de son dernier jour avec lui un moment spécial.

L’aventure qui s’ensuit, qui pourrait impliquer la légende d’un trésor caché, rappelle quelque peu « The Goonies ». Les parents de Caleb avaient également l’habitude de visiter un cratère traversé par un ruisseau (une description fantastique). C’est une zone qui leur rappelait souvent la Terre, et c’était le dernier souhait du père de Caleb qu’il visite le cratère. Caleb et ses amis ont juste besoin de trouver un moyen de quitter la colonie sans déclencher les alarmes. Les enfants demandent l’aide d’Addison (McKenna Grace), qui vient d’arriver sur la lune avec son père après son divorce désordonné. Scientifique, son père détient tous les codes d’accès. Il ne faut pas beaucoup plaider pour qu’Addison soit d’accord. La Terre lui manque (une planète que les autres enfants, nés sur la surface lunaire, n’ont jamais connue) et veut quitter les confins étouffants de la colonie.

« Crater » est assez familier dans ses références et pourrait être trop sur le nez (à un moment donné, le script de John Griffin arrache presque, mot pour mot, le discours de Ben Affleck de « Good Will Hunting »). Mais ce n’est rien de toxique pour les films pour enfants ; ils contiennent souvent des clins d’œil aux films pour adultes que les créateurs adorent.

Et pourtant, « Crater » est plus que son aventure amusante. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de hijinks alors que ces enfants conduisent joyeusement le rover à la surface de la lune. Un « jeu » les voit utiliser un réservoir d’oxygène pour se tirer dans l’espace. Tout est amusant jusqu’à ce que l’attache qui les empêche de s’envoler dans l’espace se brise. Des situations comme celle-ci les poussent à sortir des sentiers battus. En cours de route, un film sombre et politiquement convaincant émerge.

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