Cocaine Cowboys: The Kings of Miami Avis critique du film (2021)

Exilés cubains, Magluta et Falcon sont devenus les rois d’une opération de contrebande tonnes de cocaïne aux États-Unis (peut-être plus de 100 tonnes en fait). Un empire qui s’étendait sur 2 milliards de dollars, ils sont naturellement devenus la cible de la guerre contre la drogue dans les années 1980, mais l’histoire de « Cocaine Cowboys: The Kings of Miami » n’est pas un effondrement miteux d’une organisation criminelle qui glorifie un mode de vie violent et meurtrier. En fait, la série de Corben se concentre vraiment sur les procédures judiciaires contre les deux hommes, y compris un premier procès qui a été considérablement modifié par la falsification du jury, et une éventuelle série de décisions de l’un des acteurs clés qui ont essentiellement abattu Magluta.

Corben laisse les personnes impliquées raconter leurs histoires, et il en obtient des incroyables de tous les côtés de cette histoire incroyable, y compris des criminels, des autorités et même quelques jurés (cette histoire est fou avec des histoires de jury d’une manière que je ne suis pas sûr d’avoir jamais vue auparavant, y compris une altération physique dans la salle des jurés et de multiples révélations de paiements aux jurés). Il y a ici un côté ludique révélateur des entretiens qui donne au projet toute son énergie. On pourrait soutenir que certains de ces criminels de carrière sont presque trop confortable – vous pouvez vous arrêter pour vous demander si vous devriez être si diverti par les barons de la drogue – mais Corben et son équipe marchent habilement sur cette ligne où il n’a pas l’impression d’élever la scène criminelle autant que de révéler les personnages colorés qui l’ont définie.

Et il n’y a pas que les criminels. « Cocaine Cowboys: The Kings of Miami » se développe en un projet beaucoup plus complet en passant presque autant de temps avec les hommes et les femmes de l’autre côté de la loi, y compris les procureurs qui ont tenté de faire tomber Magluta et Falcon. Même l’équipe de défense, y compris l’incroyable Albert Krieger, obtient de magnifiques extraits sonores, mais Marilyn Bonachea vole vraiment la série. C’est elle dont les téléspectateurs parleront, un acteur clé de l’organisation qui l’a maintenue jusqu’à ce qu’elle sente qu’elle l’a trahie.

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