Vinnie Jones livre Brass Knuckle Beat Downs

Vinnie Jones pousse les sourcils froncés et les grimaces vers de nouveaux sommets alors qu’il réduit les laquais en bouillie avec des poings américains. Bullet Proof a l’acteur vétéran jouant un baron de la drogue impitoyable commandant un gang de crétins au visage tatoué. Il poursuit un voleur effronté qui a volé son argent, et roulement de tambour s’il vous plaît, femme enceinte dans l’évasion. Bullet Proof fait initialement monter l’adrénaline avec des poursuites incessantes, des coups de feu et des coups de fouet. Vous encouragez les protagonistes sympathiques à s’enfuir avec le butin mal acquis. Un deuxième acte d’accalmie dans l’action fait ramper le récit. Le film prend de la vitesse pour le point culminant mais ne retrouve jamais sa position d’origine.

James C. Clayton joue et réalise le rôle du voleur sans nom. Il se faufile dans un dépotoir où les méchants cachent des armes et beaucoup d’argent. Les balles volent alors qu’il attrape le butin et vole une voiture. Son timing est nul alors qu’un autre véhicule s’écrase sur lui. Le pistolet du voleur fouette le conducteur puis accélère dans cette voiture. Il s’arrête sur l’autoroute pour panser une blessure. La situation se complique lorsqu’il découvre la enceinte de Mia (Lina Lecompte) cachée dans le coffre.

Temple (Jones) arrive à la suite de la casse. Il est furieux contre le vol mais plus préoccupé par la trahison de Mia. Un passage à tabac du chauffeur révèle le désir de Mia de le quitter. Elle n’élèvera pas son enfant avec un père brutal. Temple fait appel à Skinny (Danny Mac) et à son meilleur exécuteur, le Français (Janvier Katabarwa), pour récupérer sa chère propriété. Pendant ce temps, le voleur se rend compte que Mia a entendu son plan d’évasion. Ils deviennent des partenaires improbables avec Temple et ses voyous à leurs trousses.

L’épreuve des balles commence fort

Bullet Proof commence fort en embrassant entièrement ses thèmes de course et d’armes à feu. Clayton, un acteur de personnage à ses débuts en tant que réalisateur, prend une page du livre de jeu de Guy Ritchie avec des modifications rapides et des prises de vue à angle vif. Il met efficacement en scène une ouverture pleine d’action. J’ai aussi adoré la partition et la bande-son groovy. La techno bat la livre avec du rock classique alors que la casse devient une zone de guerre. Les réponses sarcastiques du voleur ajoutent une touche de comédie au carnage.

Clayton et Lecompte ont de la chimie lorsque le récit gagne du terrain. Le destin les réunit au mauvais moment. Le voleur veut son argent mais se sent coupable de la situation de Mia. Elle a de nombreuses raisons de fuir la colère de Temple. Comme on pouvait s’y attendre, l’évasion tourne mal lorsqu’ils doivent s’arrêter dans une clinique pour des problèmes de grossesse. Ce n’est pas irréaliste que tous les scumbags les recherchent. Mais Bullet Proof s’essouffle avec une intrigue secondaire sur les punks essayant de voler l’argent. Clayton devait s’en tenir à une philosophie de la pédale au métal. Le deuxième acte a trop de remplissage inutile.

Bullet Proof ne doit être considéré que comme un pur acteur de film B. Il y a une valeur de divertissement comme une expérience de vérification de votre cerveau à la porte. Temple et le Français qui botte les fesses travaillent comme des antagonistes sadiques. Ils laissent une bande de corps avec des meurtres aveugles. Clayton montre une certaine promesse ici. Je suis curieux de savoir comment il ferait avec un budget plus important et un meilleur scénario.

Bullet Proof s’appelait auparavant Death Pursuit. Il est produit par IndustryWorks Studios, Play by Play Entertainment, Peacemaker Filmworks, RAW Camera Company, Greendale Productions et Grindstone Entertainment Group. Bullet Proof est actuellement disponible sur demande et en salles auprès de Lionsgate.

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