Thirteen Lives Avis critique du film & résumé du film (2022)

Si vous avez ce sentiment ancien et familier après avoir lu ce synopsis, vous avez vu soit le film de fiction de 2019 « The Cave », soit le documentaire spectaculaire de l’année dernière, « The Rescue ». Ce dernier film a hanté mon visionnage de « Thirteen Lives » d’une manière qui peut sembler injuste. Certes, il y a eu plusieurs excellents documentaires qui ont conduit à des films de fiction moins que stellaires avec des stars majeures, mais cela s’est généralement produit après un certain temps. Il y a à peine un an entre la version de Jimmy Chin et Elizabeth Chai Vasarhelyi et celle de Ron Howard, donc c’est resté beaucoup trop frais dans mon esprit. Pour aggraver les choses, « The Rescue » est plus court de 40 minutes et propose des reconstitutions avec et des images tournées par les vrais plongeurs qui ont participé au sauvetage de l’équipe de football de Wild Boar. C’est aussi déchirant au point que moi, avec ma peur de la noyade et ma claustrophobie, j’ai envisagé de quitter le théâtre.

Pas une seule fois je n’ai bronché pendant « Thirteen Lives », malgré le fait que j’ai passé autant de temps à regarder des séquences sous-marines dans des passages si étroits qu’une personne peut à peine passer, et encore moins transporter une autre personne en lieu sûr. Bien qu’une carte occasionnelle soit superposée à l’écran, les téléspectateurs ont à peine le sens de la géographie. Howard et son éditeur, James Wilcox tuent l’élan et la tension en coupant souvent entre ce qui se passe sous terre et les nombreuses tentatives pour détourner l’eau au-dessus. Puisqu’ils ne parviennent pas à établir une sorte de cohérence dans la chronologie entre ces événements, nous nous demandons « est-ce que cela se produit en même temps? » C’est désorientant et nous distrait du drame.

Peut-être que cette distraction est intentionnelle, car le scénario de William Nicholson regorge de versions bidimensionnelles des personnes réelles impliquées. « Thirteen Lives » s’appuie sur son pouvoir vedette pour faire le gros du développement du personnage. Les plongeurs réels Rick Stanton, Chris Jewell, John Volanthen, Jason Mallinson et le Dr Richard Harris sont interprétés respectivement par Viggo Mortensen, Tom Bateman, Colin Farrell, Paul Gleeson et Joel Edgerton. Chaque acteur se voit attribuer une caractéristique, qu’il s’agisse de faire un accent inattendu, d’être un père inquiet ou de jouer un réaliste intensément grincheux qui n’a pas confiance en sa propre capacité à sauver ces pauvres enfants. Cette dernière bizarrerie appartient à Mortensen, qui se renfrogne tellement qu’il a évoqué le sergent instructeur qu’il a joué dans « GI Jane ».

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