Memory Avis critique du film & résumé du film (2022)

Le temps autour, Neeson joue Alex Lewis, un autre tueur à gages expert avec un ensemble particulier de compétences. Au début de ce film, il envisage de laisser la vie derrière lui après avoir vu des signes de la maladie d’Alzheimer qui a déjà coûté la vie à son frère. Néanmoins, Alex accepte un dernier travail à El Paso, dans lequel il doit se débarrasser de deux personnes distinctes et récupérer des clés USB importantes de la première victime. Il réussit assez facilement le premier coup mais lorsqu’il découvre que la deuxième victime est une fille de 12 ans (Mia Sanchez), Alex refuse d’appuyer sur la gâchette et garde les clés USB pour lui comme police d’assurance.

Malheureusement, la jeune fille avait été proxénète par son père à un certain nombre de personnes riches et puissantes, y compris le fils dépravé du puissant promoteur immobilier Davana Sealman (Monica Bellucci), qui a sorti le hit original afin d’aider son enfant à échapper à la justice. . Après avoir ficelé ce bout libre, elle demande également qu’Alex soit tué. Mais même s’il dérape mentalement, il est toujours assez habile pour échapper à ses hommes de main et tuer tous ceux qui sont connectés à distance au crime. Alex plante également suffisamment d’indices pour qu’un groupe de travail du FBI dirigé par Vincent Serra ( Guy Pearce ), qui a également tenté d’aider la jeune fille et se sent coupable de ce qui lui est arrivé, le poursuive tout en gardant toujours une longueur d’avance sur eux.

Si les points de base de l’histoire de « Memory » vous semblent familiers, il se peut que vous ayez vu « The Memory of a Killer », le drame policier belge de 2003 qui a été américanisé ici (avec les deux films basés sur le roman de Jef Geeraerts Le cas Alzheimer). Bien que cette version suive plus ou moins le même cheminement narratif que son prédécesseur, le film original, bien qu’étant un film de genre parfaitement bon en soi, s’intéressait davantage à son personnage central (joué dans une très bonne interprétation de Jan Decleir) qu’il est obligé de tenir compte à la fois du poids de ses méfaits passés et des cruautés de sa condition actuelle.

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