Liam Neeson Actioner offre une évasion bienvenue

Liam Neeson revient dans The Marksman, un jeu d’action discret simpliste mais observable. Un éleveur de l’Arizona en difficulté défend un garçon mexicain traqué par des cartels de la drogue impitoyables. Le film se concentre sur l’amitié naissante des personnages principaux alors qu’ils s’échappent lors d’un long voyage sur la route. La chimie entre les pistes porte le récit simple. Il n’y a pas de surprise entre les fusillades, qui ne sont ni salaces ni trop sanglantes. Le tireur d’élite est facilement oubliable, mais offre un répit bienvenu de l’agitation politique du pays. Liam Neeson incarne Jim Hanson, un vétéran veuf de la Marine sur le point de perdre son ranch frontalier de l’Arizona. Jim protège son maigre troupeau des prédateurs avec un fusil de chasse près de la barrière de sécurité. C’est un sniper de crack de deux tournées au Vietnam. Pendant ce temps au Mexique, Rosa (Teresa Ruiz) reçoit un appel terrifiant de son frère. Il est poursuivi par le cartel de la drogue local. Rosa attrape Miguel (Jacob Perez), son fils de onze ans, et sort de chez eux en courant. CONNEXES: La bande-annonce de Marksman: Rancher Liam Neeson Vs. Cartel Assassins Rosa paie un passeur pour l’emmener avec Miguel dans une brèche secrète dans la barrière frontalière. Le cartel est sur la bonne voie alors qu’il tente de se faufiler. Ils courent vers le camion de Jim pour obtenir de l’aide. Il est sur le point d’appeler sa belle-fille (Katheryn Winnick), un agent de patrouille frontalière, lorsque le cartel arrive. Les sicarios, dirigés par l’impitoyable Mauricio (Juan Pablo Raba), sous-estiment le vieil éleveur. Une fusillade s’ensuit avec des conséquences mortelles. Le tireur d’élite n’est pas un rechapé de Rambo à la frontière abattant en masse des sbires de la drogue. Les scènes d’action sont représentées de manière assez réaliste. Une seule balle fait le travail lorsqu’elle est tirée d’une main formée. Le réalisateur Robert Lorenz (Trouble with the Curve), producteur fréquent de films de Clint Eastwood, donne à son protagoniste une sensibilité à l’ancienne. Jim n’est pas un héros d’action fulgurant, mais assez efficace pour livrer la violence. Liam Neeson est plus accessible en tant que soldat altéré protégeant un enfant. Le tireur d’élite souffre d’un manque d’imagination. L’histoire se déroule exactement comme prévu sans aucune intrigue. Ceci est particulièrement évident dans les caractères de support en carton. Leur dialogue aurait pu être écrit par un robot. Il y a des parties du film qui sortent de l’inanité. Le cartel peut suivre Jim avec une relative facilité, tandis que les agents de patrouille frontalière tentent même de retracer un appel téléphonique. La belle-fille de Jim disparaît à mi-chemin sans aucune explication. Le seul but de son personnage est d’ajouter un élément faible et humanisant. Liam Neeson et le jeune Jacob Perez profitent au maximum de leur temps à l’écran. Le couple passe la majorité du film ensemble en fuite. Leurs lignes scénarisées ne sont pas remarquables, mais elles ont un échange intéressant. Leur relation procure une chaleur bien nécessaire. Perez comprend la nature désastreuse de la situation de son personnage et dégage la gravité appropriée. Sa détermination est évidente, même quand il ne parle pas. Il tient son propre espace avec un titan hollywoodien. L’agent de casting a clairement trouvé le bon enfant acteur. Le tireur d’élite profite de l’actualité tumultueuse du jour. C’est un film d’action par cœur avec un brin de cœur, mais une diversion bien nécessaire de l’insurrection choquante. Je serais probablement plus critique dans différentes circonstances. Le tireur d’élite offre une évasion bienvenue avec des divertissements sans cervelle. The Marksman est une production de Briarcliff Entertainment. Il sortira en salles le 15 janvier par Open Road Films. Les opinions et opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de Movieweb.

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