L’évolution des effets spéciaux dans les films de super-héros : la saga de l’animatronique inutilisée de Venom dans Spider-Man 3
Les films de super-héros ont connu une évolution spectaculaire depuis les premières franchises, notamment avec l’apparition de l’animatronique inutilisé pour Venom dans Spider-Man 3, mettant en lumière les différences entre les films d’hier et d’aujourd’hui.
La Résurgence de l’Animatronique de Venom
L’animatronique inutilisé de Venom dans Spider-Man 3 refait surface en ligne, soulignant les différences majeures entre les films de super-héros d’Hollywood moderne et ceux d’avant 2010. La tête animatronique Venom met en avant l’utilisation des effets pratiques, une caractéristique souvent utilisée dans la trilogie Spider-Man de Sam Raimi. Cette redécouverte met également en lumière l’évolution des films de super-héros, passant d’une dépendance aux effets spéciaux pratiques à une utilisation excessive du CGI.
Les différences entre Venom dans Spider-Man 3 et le Venom autonome de Sony
Outre les avancées technologiques, la principale distinction réside dans l’absence de Spider-Man dans le film Venom autonome de Sony, modifiant de manière significative la dynamique et l’histoire du personnage principal. Contrairement à la version de Marvel Comics et d’autres incarnations, le lien entre Venom et Spider-Man est absent, marquant un tournant décisif dans l’évolution du personnage.
Cette évolution des effets spéciaux et des histoires de super-héros reflète le changement radical du paysage cinématographique, illustrant la transition des effets pratiques vers une dépendance au CGI, et la reconfiguration des relations entre les personnages emblématiques du genre.