Les films de loup-garou les plus sous-estimés, classés

Les films de loups-garous sont un incontournable du genre horreur. Pour de nombreux téléspectateurs, il n’y a rien de plus effrayant qu’une créature poilue imposante à la recherche de sang. Pour d’autres, ils ne peuvent penser à rien de plus absurde qu’un cryptide campeur piétinant dans la forêt, qui n’est probablement qu’un acteur en costume de fourrure. Quelle que soit votre attitude envers les films de loups-garous, leur influence sur le genre et les apparitions dans de nombreux films bien-aimés est inébranlable. Un article de CNET l’a bien résumé : « Les loups-garous sont parmi les créatures surnaturelles les plus visuellement frappantes du lexique… Vous avez la recette d’une belle histoire : malédictions, magie, monstres et créatures incomprises. Qu’est-ce qu’il ne faut pas aimer ? « 

Alors qu’une poignée de films centrés sur les loups-garous ont atteint le statut de classique culte – comme Ginger Snaps – d’autres sont davantage les héros méconnus du sous-genre. Mettre en lumière des films sous-estimés leur permet d’être adorés par toutes sortes de téléspectateurs et de les exposer à différents types de publics. Que vous soyez généralement fan des caractéristiques des créatures ou non, les films de loups-garous ont le moyen de déclencher l’inattendu de plusieurs façons. Jetons un coup d’œil aux films de loups-garous les plus sous-estimés, classés.

6 Loup-garou de Londres (1935)

Images universelles

Avant qu’Un loup-garou américain à Londres ne prenne d’assaut le monde de l’horreur, Werewolf of London d’Universal Pictures a présenté au public ce qui se passe la nuit. Ce classique de 1935 est considéré comme le premier film de loup-garou à sortir en salles à Hollywood, avant même la sortie du plus connu The Wolf Man en 1941. Dans Werewolf of London, Wilfred Glendon (Henry Hull) est un botaniste qui étudie une plante étrange lorsque il est mordu par un animal redoutable. Découvrant que la fleur détient le remède contre la lycanthropie, les étoiles semblent s’aligner alors que son corps commence à changer lorsque la lune devient pleine.

Prism Pictures, C/FP Video et Blue Ridge Entertainment

Project Metalbeast est une interprétation extrême du sous-genre loup-garou. Après s’être injecté du sang de loup-garou recueilli lors d’une mission, un militaire exaspéré se transforme rapidement en monstre. Suite à une vague de violence, il est gelé cryogéniquement pendant 20 ans et ramené à la conscience pour subir des tests gouvernementaux. Fusionnant la peau existante avec du métal sous le nom d’avancée scientifique, le projet est un cauchemar douloureux, redonnant vie au loup-garou rugissant. Ce film est un excellent exemple de la raison pour laquelle certaines expériences ambitieuses devraient être annulées avant qu’elles ne commencent.

4 Mauvaise lune (1996)

Images de Warner Bros.

Fidèle à son titre, Bad Moon capture le désespoir cyclique qui accompagne le fait d’être un loup-garou. Ted (Michael Paré) et sa petite amie Marjorie sont acculés par une créature géante ressemblant à un loup lors d’une mission de photojournalisme à distance. Marjorie perd la vie, mais Ted s’en sort blessé, se rapprochant de sa famille alors qu’il guérit. Ensemble, ils commencent tous à comprendre que Ted a été mordu par nul autre qu’un loup-garou. Ses proches le regardent avec horreur alors qu’il commence à se transformer et à se retourner contre eux, explorant les implications de son passé.

3 Hurlement (2015)

Starchild Pictures & Pathé

Howl est l’une des œuvres les plus récentes du cinéma de loup-garou. Sorti en 2015, ce film crée un sentiment de terreur dans une atmosphère confinée. Un train de nuit quittant Londres est soudainement arrêté après avoir heurté un cerf, ce qui laisse suffisamment de temps à notre créature à dents de crocs préférée pour se déplacer. Après que le loup ait tué le conducteur, les passagers restants se retrouvent face à une menace poilue. Une critique de Bloody Disgusting dit: « Les créatures ne sont qu’une partie de l’ensemble du film. Les intérieurs ternes, claustrophobes et souvent sombres du train sont absolument parfaits pour générer des tensions et des frayeurs. »

2 La Compagnie des loups (1984)

The Cannon Group, Inc. et ITC Entertainment

Cette pièce d’époque peint les loups-garous sous un nouveau jour, les positionnant dans les pages d’un livre de contes familier. The Company of Wolves est une réinvention gothique et visuellement époustouflante du conte classique du Petit Chaperon rouge et de la nouvelle inspirée d’Angela Carter. Dans ses rêves cauchemardesques, Rosaleen (Sarah Patterson) fait fi de la prudence de sa grand-mère (Angela Lansbury) lorsqu’elle rencontre un mystérieux chasseur qui s’avère être – vous l’avez deviné – un loup-garou. En raison de sa curiosité, Rosaleen commence finalement à se transformer également, ce qui donne un film délicieusement sombre qui donne une tournure terrifiante à une prémisse bien-aimée.

1 La bête doit mourir (1974)

British Lion Films & Cinerama Releasing Corporation

Enfin et surtout, The Beast Must Die est un exemple méconnu du monde des films de loups-garous. Tom Newcliffe (Calvin Lockhart), un chasseur riche et célèbre, invite un groupe d’invités dans sa vaste maison avec la promesse d’un week-end pour se détendre. Mais leur temps de vacances est écourté lorsqu’il annonce son plan pour découvrir le loup-garou qu’il croit être parmi eux. Il révèle une pléthore d’épreuves différentes pour découvrir la bête, y compris l’introduction de l’aconit, des objets en argent et, bien sûr, le pouvoir de la pleine lune. Ce film ajoute une sensation de polar et de meurtre-mystère à une prémisse de créature classique, ce qui se traduit par une histoire qui est cruellement sous-estimée.

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