Les 10 plus grands films de science-fiction britanniques de tous les temps
Bien que la plupart de ses talents soient exportés vers l’Amérique, l’écosystème cinématographique britannique jouit d’une bonne réputation, tant au niveau national qu’international. Avec un flux constant de contributions d’acteurs et de réalisateurs, l’économie cinématographique britannique est propice à un cinéma et à une culture de grande qualité. Cela étant dit, le penchant du pays pour la narration ne se limite pas à un seul genre ou à des strates particulières, mais s’étend plutôt à une variété de thèmes et de formats, allant des pièces d’époque aux chefs-d’œuvre de science-fiction. Alors sans plus attendre, préparez-vous à plonger dans certains des plus grands films de science-fiction britanniques de tous les temps.
Sommaire
dix28 jours plus tard (2002)
Projecteur Renard
Le classique des zombies anxiogène et modestement produit par Danny Boyle est en partie d’horreur et en partie de science-fiction par nature. Résultat d’une expérience scientifique qui a mal tourné, un virus balaie rapidement les structures du Royaume-Uni, transformant les hommes en monstres. Boyle utilise la science-fiction comme rampe de lancement pour créer son monde d’horreur, avant de finalement commenter la nature humaine et les relations humaines face à un grave danger.
9Attaquer le bloc (2011)
StudioCanal
Bien intitulé, Attack the Block est un film assez simple qui voit un gang d’adolescents à Londres combattre une invasion extraterrestre. Avec des morceaux de science-fiction, d’horreur et de comédie, le film de Joe Cornish est un voyage en montagnes russes au rythme effréné, étonnamment sombre, mais drôle, pour un film rempli d’adolescents.
Bien que le film regorge de bonnes performances, de Franz Drameh à Jodie Whittaker, c’est le protagoniste principal, John Boyega, qui remporte le gâteau, décrivant son portrait d’un membre de gang désireux de plaire avec une conviction incroyable.
8 La fin du monde (2013)
Fonctionnalités Focus / Images universelles
Le troisième volet de la trilogie Cornetto aux trois saveurs, The World’s End, met les classiques d’Edgar Wright dans un mélange épique d’invasion extraterrestre, créant la confrontation parfaite entre des extraterrestres technologiquement avancés et un groupe d’antihéros ivres et hébétés. Considérant qu’il s’agit d’un film d’Edgar Wright, The World’s End est plein d’humour britannique sec et noir, associé à une superbe comédie visuelle et à un personnage rafraîchissant et insouciant de Simon Pegg.
7Quatermass et la fosse (1967)
Renard du 20e siècle
Lorsqu’un mystérieux artefact est découvert sous une station de métro de Londres, la nation entière est plongée dans une frénésie, car l’artefact semble avoir un puissant effet psychique sur les gens qui l’entourent. Incorporant plusieurs éléments de paléontologie, Quatermass and the Pit résume avec brio la frénésie collective d’une nation entière, alors qu’ils visent à découvrir la racine du mystère qui a sous le charme une nation entière.
6Sous la peau (2013)
A24
Le film de Jonathan Glazer marie le sous-genre de la femme fatale avec une invasion extraterrestre, créant une expérience à la fois séduisante et terrifiante. Après avoir pris une pause avec son personnage du MCU, Scarlet Johansson joue le rôle d’une séductrice extraterrestre, à la recherche d’hommes vigoureux.
Un film de science-fiction dans l’âme, avec une boussole morale, Under the Skin est divertissant, tout en fournissant également des commentaires indispensables du monde réel sur la nature de la luxure et de la cour.
5 monstres (2010)
Films sur le vertige
Tourné avec un maigre budget, les débuts de Gareth Edwards lui ont valu de nombreuses distinctions et une crédibilité dans l’industrie. Une démonstration ingénieuse sur la façon de se débrouiller avec des contraintes limitées, Monsters tourne autour d’une sonde de la NASA transportant un échantillon d’ADN extraterrestre qui s’écrase au Mexique, étendant ses tentacules à travers le pays et transformant le Mexique en une zone infestée.
4 fils (1984)
BBC
Threads est l’un des films non-horreur les plus obsédants jamais réalisés. Basé sur le scénario hypothétique d’un hiver nucléaire, le film se déroule dans le contexte de Sheffield et suit la relation de deux futurs parents alors qu’ils traversent le chaos de la guerre nucléaire.
Threads dresse un portrait obsédant et étrangement précis d’une réalité qui était sur le point de se réaliser, ce qui en fait l’un des films les plus troublants jamais réalisés.
3 Soleil (2007)
Photos de projecteur de renard
Sunshine est un autre film de Danny Boyle sur la liste qui est aussi réel et brut que possible. Passant d’une apocalypse zombie à l’espace, Sunshine suit une équipe d’astronautes chargés d’une mission visant à rallumer un soleil mourant. L’odyssée spatiale de Boyle regorge de superbes performances et de conflits psychologiques, ce qui lui confère un quotient de crédibilité indispensable qui fait souvent défaut dans les films spatiaux.
2 Extraterrestre (1979)
Renard du 20e siècle
Le chef-d’œuvre de science-fiction de Ridley Scott a été financé par les États-Unis, mais réalisé par la filiale de production britannique de 20th Century Fox. Après le succès gargantuesque de Star Wars, Fox a misé sur la vision astucieuse et la crédibilité de Scott, alors que le maestro produisait une masterclass sur la création de tension et de suspense. Alien est considéré par beaucoup comme le mélange définitif entre l’horreur et la science-fiction, extrayant avec succès le meilleur des deux genres, tout en évitant leurs gadgets évidents.
1Enfants des hommes (2006)
Images universelles
Basé sur le roman du même nom de PD James de 1992, le film d’Alfonso Cuaròn dresse un sombre tableau de la Grande-Bretagne en 2027, alors que le monde est devenu stérile et que l’humanité est au bord de l’extinction. C’est alors qu’une jeune femme se retrouve enceinte et est au centre de l’attention de tout le monde, nourrissant à la fois de bonnes et de mauvaises intentions. La seule chose qui se tient entre son bébé à naître et les regards indiscrets du monde est Theo (Clive Owen), un bureaucrate blasé qui a pratiquement abandonné le monde et son fonctionnement.
Du scénario tendu de Cuaròn et compagnie à la cinématographie rapide et claustrophobe d’Emmanuel Lubezki, Les Enfants de Men est un portrait intimidant de tout ce qui est mauvais dans le monde, avec un soupçon de tout ce qui est bon.