Quatermass and the Pit movie

Films de science-fiction sous-estimés des années 60, classés

Les années 1960 ont été une décennie unique, pleine de créativité et d’expérimentation dans le domaine de la science-fiction. Avec des adaptations de romans classiques et d’histoires visionnaires originales, les films de science-fiction de cette décennie ont fourni aux fans de nombreux divertissements mémorables et stimulants.

Les effets spéciaux étaient à la hausse et de nombreuses histoires exploraient les thèmes de la technologie, de l’exploration spatiale, des invasions et des rencontres extraterrestres et des menaces de guerre nucléaire. Le public a été séduit par des classiques comme Le jour où la Terre s’arrêta, La Planète des singes et 2001 : l’Odyssée de l’espace, mais de nombreux joyaux moins connus de la décennie méritent plus d’attention. Voici quelques-uns des films de science-fiction les plus sous-estimés des années 60, classés.

10 Voyage fantastique (1966)

Renard du 20e siècle

Bien que l’un des classiques de science-fiction les plus connus des années 60, Fantastic Voyage soit encore très sous-estimé. Réalisé par Richard Fleischer et mettant en vedette Stephen Boyd, Raquel Welch et Edmond O’Brien, le film suit une équipe de scientifiques qui sont transformés en proportions microscopiques et injectés dans le corps d’un scientifique pour trouver le caillot sanguin et lui sauver la vie. Cependant, leur mission est compliquée par la présence d’agents étrangers et le court délai d’une heure.

Avec des effets spéciaux impressionnants et une histoire palpitante, Fantastic Voyage est un incontournable pour tout fan de science-fiction. Le film a connu un énorme succès, remportant deux Oscars lors de la cérémonie de 1966 pour la meilleure direction artistique – couleur et meilleurs effets spéciaux. Même avec ce succès, le film est encore négligé par beaucoup, ce qui est dommage compte tenu de son histoire progressive et de ses visuels impressionnants, sans parler du grand virage de Donald Pleasence avant ses jours James Bond et Halloween.

9 Maronné (1969)

Photos de Colombie

Le film de 1969 de John Sturges Marooned met en vedette Gregory Peck, Richard Crenna et David Janssen dans une histoire passionnante d’astronautes de la NASA envoyés dans l’espace pour une mission de recherche de plusieurs mois. Le drame à construction lente s’intensifie à mesure que les hommes font face à un moteur défaillant, à une diminution de l’approvisionnement en oxygène et à un retour imminent sur terre. Les scènes pleines de suspense des astronautes travaillant pour survivre dans l’espace, combinées à l’absence de partition, font de Marooned une expérience véritablement captivante.

Le film a été un succès critique et a remporté un Oscar des meilleurs effets visuels spéciaux aux Oscars de l’année suivante. L’un des éléments uniques et englobants de ce film est la bande sonore ambiante utilisée pour émuler l’environnement d’être dans l’espace. C’est peut-être une construction lente qui semble un peu plate sur une première montre, mais Marooned est un classique de son époque et mérite plus d’amour qu’il n’en reçoit.

8 L’ordinateur portait des chaussures de tennis (1969)

Distribution Buena Vista

Les contributions de Walt Disney au genre de science-fiction des années 60 passent souvent inaperçues, mais The Computer Wore Tennis Shoes de 1969 est un film charmant et agréable. Avec Kurt Russell dans le rôle de Dexter Riley, un étudiant universitaire sujet aux accidents qui se fait électrocuter en réparant un ordinateur. Cela lui laisse l’intelligence et la mémoire d’un ordinateur, le laissant utiliser sa nouvelle intelligence pour aider à arrêter un homme d’affaires crapuleux. C’est une comédie légère et une vitrine impressionnante des capacités de Disney au-delà de l’animation traditionnelle.

The Computer Wore Tennis Shoes est un excellent exemple des films de science-fiction familiaux de l’époque. Bien qu’il ne soit peut-être pas aussi sombre et stimulant que les autres films de la liste, il vaut la peine d’être regardé pour son mélange unique de comédie et de science-fiction. La performance de Kurt Russell dans le rôle du maladroit Dexter Riley est un moment fort et contribue à faire du film une expérience agréable pour les téléspectateurs de tous âges.

7 Ce n’est pas un test (1962)

Artistes alliés

Ce n’est pas un test est un film de science-fiction sous-estimé de la guerre froide sorti en 1962. C’est l’un des films les moins connus de la décennie, mais son histoire captivante et son conflit de personnages en valent la peine. Le film suit un shérif d’une petite ville qui est obligé de protéger les citoyens de la ville d’une attaque nucléaire imminente. Il crée un barrage routier pour arrêter les voyageurs, et le groupe se réfugie dans un camion, espérant survivre aux retombées.

Le film est une solide exploration de la peur et de la paranoïa de l’époque, ainsi qu’un commentaire sur l’expérience humaine du conflit dans les moments de crise. Avec son atmosphère claustrophobe et sa cinématographie austère, This Is Not a Test est l’un des films de science-fiction les plus puissants de son époque. Il n’est peut-être pas aussi populaire que d’autres de la décennie, mais il vaut le détour pour son histoire et ses solides performances.

6 Espace intérieur de destination (1966)

United Pictures Corporation

Destination Inner Space est un thriller de science-fiction sous-estimé sorti en 1966. Le film observe l’équipage d’un Topside Sealab, une station de recherche marine au fond de l’océan. Un étrange objet non identifié a été repéré dans la zone, et l’équipage doit enquêter. Une fois la soucoupe cylindrique futuriste à bord du Sealab, ils se retrouvent face à plus qu’un simple objet mystérieux. Cette fonctionnalité de créature continue à suivre l’équipage alors qu’ils se battent pour leur vie contre les menaces extraterrestres.

Les effets à petit budget et la conception de la production ne sont peut-être pas aussi flashy que certains autres films, mais Destination Inner Space reste une montre attrayante. Le mélange de sons et d’effets spéciaux est à la fois efficace et le design monstre est toujours remarquable aujourd’hui. C’est un excellent exemple de science-fiction du milieu du siècle, et son intrigue unique en fait un film agréable pour tout fan de science-fiction.

5 Panique à l’année zéro ! (1962)

Photos internationales américaines

Panique en l’an zéro ! est un film de science-fiction de 1962 mettant en vedette Ray Milland dans le rôle de Harry Baldwin, un père essayant de protéger sa famille à la suite d’une attaque nucléaire à Los Angeles. La loi et l’ordre n’étant plus en vigueur, les Baldwin doivent se battre pour leur survie alors qu’ils traversent le dangereux désert post-apocalyptique. L’histoire aborde les thèmes de la moralité et de l’éthique, mais c’est aussi un film d’action passionnant. La famille rencontre différents types de survivants, des désespérés à ceux qui sont prêts à recourir à la violence pour obtenir ce qu’ils veulent.

Le film est un exemple classique du sous-genre de la catastrophe nucléaire, et c’est toujours une montre amusante aujourd’hui. La combinaison de séquences d’action pleines de suspense et de dilemmes moraux fait de Panic in Year Zero! une pièce essentielle du cinéma de science-fiction. Vous pouvez également apprécier la partition de Les Baxter, qui contribue à créer une ambiance d’effroi qui persiste dans son intégralité.

4 Quatermasse et la fosse (1967)

Renard du 20e siècle

Quatermass and the Pit est un film de science-fiction britannique classique sorti en 1967, basé sur la série télévisée BBC du même nom. Il suit Bernard Quatermass, un scientifique enquêtant sur un objet étrange découvert sur un chantier de construction souterrain. Il s’avère être un squelette humain et un vaisseau spatial martien enfoui profondément sous la surface. D’autres enquêtes révèlent son pouvoir mystérieux et créent plus de questions sur l’origine de l’humanité.

Le film est un thriller captivant et plein de suspense qui capte l’imagination des téléspectateurs longtemps après sa sortie et aurait influencé Alien. Avec son cadre sombre et ses dialogues intelligents, l’histoire laisse les téléspectateurs deviner et est l’un des rares films à créer véritablement une atmosphère de peur. C’est l’un des films Hammer Horror les plus négligés, malgré son scénario captivant et ses réalisations techniques.

3 Le jour des Triffides (1963)

Artistes alliés

The Day of the Triffids est un autre film de science-fiction britannique basé sur le roman de John Wyndham. Il suit Bill Masen, un biologiste qui se réveille d’un accident pour découvrir qu’une pluie de météorites a aveuglé la majeure partie de la population. Bientôt, il se rend compte qu’ils sont attaqués par des plantes mangeuses d’hommes connues sous le nom de Triffids. Bill et les autres survivants doivent se lancer dans une quête de sécurité au milieu d’un monde post-apocalyptique chaotique.

Alors que certains négligent ce film en raison des faiblesses du scénario et de la conception de la production, son concept central reste assez mémorable. The Day of the Triffids est un film d’horreur étrangement efficace, et sa prémisse simple mais terrifiante en a fait un véritable classique. C’est une montre agréable pour ceux qui apprécient les films B et recherchent des sensations fortes de science-fiction classiques.

2 Les mangeurs de chair (1964)

Distributeurs de cinéma d’Amérique

The Flesh Eaters est un film B amusant de 1964 avec Martin Kosleck et réalisé par Jack Curtis. Il suit une actrice, son assistante et un pilote d’avion qui se retrouvent bloqués sur une île lorsqu’ils ont frappé une tempête pendant leur vol. Ils rencontrent un scientifique qui vit sur l’île, mais ses motivations sont suspectes. Il devient vite évident que l’île est infestée de créatures carnivores, les forçant à se battre pour leur vie alors qu’ils luttent pour s’échapper.

The Flesh Eaters est un exemple classique d’horreur à petit budget avec des effets campy. Certains trouveront peut-être que le gore est daté, mais pour l’époque, c’était assez efficace. Au-delà du dialogue et du jeu d’acteur, c’est un film plein de suspense qui se démarque de ses pairs. Il a une sensation de film monstre, avec un soupçon d’éléments noirs et de science-fiction, ce qui en fait une montre fascinante.

1 Voyage au fond de la mer (1961)

Renard du 20e siècle

Ne manquant pas d’acteurs et de cinéastes talentueux, Voyage au fond de la mer est un film de science-fiction classique de 1961. Il met en vedette Walter Pidgeon dans le rôle de l’amiral Harriman Nelson, le créateur d’un sous-marin nucléaire appelé Seaview. Alors que Nelson et l’équipage du navire sont dans l’océan Arctique pour des tests, la ceinture de radiation de Van Allen prend feu et menace de détruire la planète avec des températures qui augmentent rapidement. Nelson et son équipage sont le seul espoir du monde, car le sous-marin est le seul navire capable de tirer un missile nucléaire depuis la tranchée des Mariannes.

Ce film a un équilibre parfait entre un suspense lent et des séquences d’action passionnantes. Il possède un excellent casting, avec des apparitions de Joan Fontaine, Barbara Eden, Peter Lorre et plusieurs autres. Il reste sous-estimé pour son époque, mais c’est une montre agréable pour ceux qui recherchent une aventure de science-fiction classique. De nombreux films et émissions de télévision ont été inspirés par l’histoire, y compris une délicieuse émission de télévision des années 60, cimentant le lieu historique de Voyage au fond de la mer. Avec les visuels captivants pendant les scènes sous-marines et le ciel brûlant, c’est un vrai classique qui n’obtient pas la reconnaissance qu’il mérite.

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