7 références cinématographiques dans le clip « Taste » de Sabrina Carpenter
Avec Jenna Ortega à l'affiche, le dernier film de Carpenter est un régal pour les cinéphiles
Sabrina Carpenter est de retour avec un nouveau clip dont tout le monde ne peut s'empêcher de parler, et cette fois, elle est rejointe par la star de « Wednesday » et de « Beetlejuice Beetlejuice », Jenna Ortega. Comme il se doit, le clip regorge de références à des films d'horreur, de camp et de films cultes, et nous avons établi une liste pratique pour vous guider à travers ces références.
Sommaire
1. « La mort lui va si bien »
Il s'agit de la référence la plus évidente et elle se retrouve tout au long de la vidéo, car « Taste » contient quelques références à la comédie noire de Goldie Hawn et Meryl Streep de 1992. Le plus évident est le concept de base de deux femmes indestructibles se battant jusqu'à la mort pour un homme, ainsi que les costumes emblématiques.
Il y a aussi toute la séquence du fusil de chasse, qui fait un clin d'œil à « La mort vous va si bien », jusqu'au trou laissé dans le torse de Carpenter — un parallèle à l'inoubliable scène « J'ai un trou dans l'estomac » de Goldie Hawn — et le coup de feu qui le traverse.
Quant à cette discussion au milieu du clip qui fait vibrer tout le monde, « Death Become Her » contient également un échange assez pointu :
« Si elle n'est pas morte… dis-lui de venir ici, de marcher jusqu'à moi et de m'embrasser sur le– »
« T'embrasser sur quoi ? »
Eh bien, cher lecteur, maintenant nous le savons.
2. « Biscuits au gingembre »
L'un des passages les plus profonds de la vidéo montre Carpenter qui tombe directement sur une palissade blanche et fait un doigt d'honneur à Ortega, une référence assez évidente au délicieux film de 2000 sur le passage à l'âge adulte des loups-garous « Ginger Snaps ».
3. « Kill Bill »
Ortega fait de son mieux pour incarner Elle Driver au milieu de la vidéo, équipée du cache-œil à croix rouge. Ce look a été adopté pour la première fois par Daryl Hannah dans « Kill Bill Vol. 1 » de Quentin Tarantino. Le meurtre au défibrillateur pourrait également être une référence à « Scream 4 » — surtout si l'on considère qu'Ortega est devenue un pilier de la franchise « Scream » — cependant, le ton et l'esthétique sont assez différents.
Et ce n’est pas tout quand il s’agit de Quentin Tarantino. Les polices de caractères utilisées dans « Taste » semblent être inspirées par celles du générique d’ouverture du classique policier de Tarantino de 1994 « Pulp Fiction ».
4. « Les valeurs de la famille Addams »
Il y a beaucoup de blondes emblématiques qui sont mentionnées ici, et ce serait un crime de laisser de côté Debbie Jelinsky, le personnage au boa de Joan Cusack dans « La Famille Addams ». Ortega est, bien sûr, devenue une reine de la « Famille Addams » à part entière avec le succès de Netflix « Wednesday ».
5. « Psycho »
L'un des premiers films d'horreur du cinéma, « Psychose » d'Alfred Hitchcock — un autre moment emblématique des blondes au cinéma — bénéficie d'un clin d'œil prolongé avec la scène de douche réinventée de la vidéo.
6. « Massacre à la tronçonneuse »
Vous ne pouvez pas simplement inclure un meurtre sanglant à la tronçonneuse et l'appeler une référence au « Texas Chainsaw Massacre » — c'est l'éclairage qui fait vraiment vendre ce film. Le classique de l'horreur de Tobe Hooper de 1974 est connu pour son utilisation du soleil d'été oppressant et de certains reflets d'objectif caractéristiques.
7. « Halloween se termine »
Si vous vous demandez qui joue le petit ami dans le clip de « Taste », il y a une réponse amusante à cette question : dans un casting effronté, il s'agit de Rohan Campbell, l'acteur qui a joué le néophyte du slasher et le petit ami le plus toxique du monde, Corey Cunningham, dans « Halloween Ends ».
Bonus : « S’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît »
Ce n'est pas une référence au film, mais « Taste » inclut également une référence destinée aux fans des clips de Carpenter. Au tout début, on voit un ours en peluche portant le même ruban adhésif marqué par un baiser que Barry Keoghan porte à la fin du clip « Please, Please, Please ».