Les meilleures performances de Steve McQueen, classées

Steve McQueen est connu comme le roi du cool. Plus qu’un acteur, c’est une icône et une marque de franc-tireur, à l’esprit audacieux et serein. Cette duplicité a donné à McQueen une licence pour être une autorité d’authenticité à son image et à sa personnalité. Au cours d’une carrière qui a duré près de trois décennies, McQueen est devenu l’anti-héros. Il n’a pris aucun parti, n’a pas joué de favoris et n’a poussé aucun programme. McQueen était un original que personne ne pouvait reproduire. Sa popularité a atteint son apogée pendant la contre-culture des années 1960, cimentant le stoïcien à contre-courant dans le courant dominant.

Les westerns étaient le pain et le beurre de McQueen jusqu’à ses rôles décisifs dans des films de série B, des drames et des films de guerre. Par exemple, Frank Sinatra a donné à McQueen l’un de ses premiers coups de chance dans Never So Few (1959). Après que Sammy Davis Jr., membre du Rat Pack, ait soi-disant parlé négativement de Sinatra dans une interview à la radio, Sinatra a donné son rôle à McQueen. Ses performances sont devenues plus nuancées avec chaque scénario et genre dans lequel il a joué. McQueen a maintenu une confiance silencieuse et un sang-froid à travers tout cela, et ces films le présentent à son meilleur.

8 Les Reivers (1969)

Photos générales nationales

Un départ définitif pour l’homme d’action, McQueen joue le voyou Boon Hoggenbeck qui part en balade dans le Winton Flyer jaune soleil de 1905 de la famille McCaslin. Ned McCaslin (Rupert Crosse) et Lucius McCaslin (Mitch Vogel) le rejoignent pour un voyage à travers le Mississippi jusqu’à Memphis dans l’une des premières automobiles américaines. La représentation d’un péquenot par McQueen est amusante, sinon remarquable, dans cette adaptation du roman lauréat du prix Pulitzer de William Faulkner.

7 La goutte (1958)

C’était le premier rôle principal de McQueen dans un film B. Le Blob est un extraterrestre gélatineux et carnivore semblable à une amibe qui s’écrase sur Terre via une météorite et terrorise et consomme les petites villes de Pennsylvanie. La plupart des jeunes acteurs ont fait leurs débuts dans des productions à petit budget. Ici, McQueen fait jouer le canari dans la mine de charbon, ou le garçon qui a appelé blob, crédible dans ce classique d’horreur de science-fiction.

6 Le chasseur (1980)

Dans son dernier long métrage, McQueen incarne le chasseur de primes américain Ralph « Papa » Thorson. Il traque les fugitifs à travers le pays et trouve toujours son homme, mais c’est un homme de culture sans prétention qui aime collectionner des antiquités et écouter de la musique classique. La juxtaposition de l’agent privé obstiné et de la vieille âme nostalgique se fait sentir dans le dernier rôle de McQueen.

5 Papillon (1973)

McQueen joue le vrai condamné français Henri Charrière. Il porte le surnom de Papillon, le mot français pour « papillon », en raison de son tatouage de papillon sur sa poitrine. Charrière est condamné à tort pour meurtre et se lie d’amitié avec un autre condamné, Louis Dega ( Dustin Hoffman ) qui l’aide à planifier leur évasion de la prison de Guyane française. Dalton Trumbo (de Roman Holiday et Spartacus Fame) et Lorenzo Semple Jr. (scénariste de The Parallax View et de nombreux épisodes de la série télévisée Batman) ont écrit cette adaptation de l’autobiographie de Charrière et McQueen le dépeint comme un homme désespéré mais déterminé qui est resté libre de l’esprit face à l’injustice.

4 Les galets de sable (1966)

L’épopée de guerre se déroule dans la Chine maritime des années 1920 et est basée sur l’opération navale Yangtze Patrol menée par la marine américaine pour se procurer et protéger ses ports maritimes. McQueen est l’ingénieur naval, Jake Holman, qui supervise les mers et son équipage. Son attention méticuleuse et sa façon de contourner les protocoles pour ses amis sont douces-amères dans cette performance. Anecdote amusante : Mako, la voix de l’antagoniste Aku dans l’émission Cartoon Network, Samurai Jack, joue le compagnon de McQueen dans la salle des machines.

3 Bullit (1968)

Warner Bros.-Seven Arts

Tourné à San Francisco, McQueen voulait un film authentique qui allait au-delà de la sortie en salles habituelle. Au lieu de décors de studio fabriqués, les acteurs et l’équipe ont filmé dans des endroits réels de la ville. Par exemple, les scènes à l’hôpital utilisaient de vrais médecins et infirmières plutôt que des acteurs remplaçants. Bullitt nous a également offert l’une des plus grandes poursuites en voiture de l’histoire du cinéma. McQueen a déclaré qu’il voulait « un film sur la réalité » et il relève clairement le défi créatif.

2 Les Sept Magnifiques (1960)

Les voitures n’ont pas le charme idyllique du Far West. L’un des plus grands westerns, The Magnificent Seven est un remake de Seven Samurai, dans lequel sept bandits armés sont embauchés pour défendre un village mexicain contre les banditos envahisseurs. McQueen a pu jouer l’un des Sept après avoir mis en scène un accident de voiture, le libérant de son rôle de western télévisé dans Wanted Dead or Alive. Échangeant des voitures contre des armes à feu, McQueen a continué à se battre comme 700 hommes.

1 La grande évasion (1963)

Artistes unis

McQueen est crédité non pas d’une mais de deux réalisations véhiculaires au cinéma. Avant Bullitt, il y avait la scène de la moto et de la poursuite dans The Great Escape. Parmi les meilleures cascades, le film dépeint l’évasion massive en 1944 de prisonniers de guerre britanniques d’un camp de prisonniers de guerre de l’Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. La présence américanisée de McQueen n’est peut-être qu’un attrait commercial, mais il nous montre qu’il n’y a pas de plus grande échappatoire que le frisson de la chasse à la volonté de rouler librement.

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