Le Seigneur des Anneaux : 10 citations les plus drôles de la trilogie
Avertissement sur le contenu : l’article suivant contient des spoilers pour la trilogie du Seigneur des Anneaux.
La première saison récemment terminée de The Rings of Power a laissé certains fans avec des questions brûlantes, tout en élargissant le monde fantastique créé à l’origine par JRR Tolkien. Il a certainement renouvelé l’intérêt pour la légendaire trilogie primée Le Seigneur des Anneaux, qui a introduit des personnages, des scènes et des répliques emblématiques.
Il peut dépeindre un voyage exténuant et plusieurs batailles, mais la trilogie est également connue pour ses citations humoristiques qui sont souvent sincères et reflètent les personnalités et les relations des personnages. Du point de vue de Gandalf sur le retard des sorciers à l’explication de Sam sur les pommes de terre, les citations inoubliables des films qui sont toujours aussi drôles aujourd’hui ne manquent pas.
« Un sorcier n’est jamais en retard, Frodo Baggins. »
Gandalf le Gris
La première fois que Gandalf est montré entrant dans la Comté, un air de mystère l’entoure. Sa nature joyeuse est bientôt révélée grâce à la déclaration pointue de Frodon alors qu’il s’approche de Gandalf, lui rappelant sévèrement qu’il est en retard. Cela suscite l’une des citations les plus mémorables de Gandalf, car il rappelle fermement à Frodon qu' »un sorcier n’est jamais en retard » « ni en avance », car « il arrive précisément quand il le veut ».
Leur rire tonitruant et leur étreinte serrée qui suit signalent bientôt aux fans que Gandalf ne faisait que plaisanter. C’est un échange réconfortant qui fera rire les téléspectateurs avec les deux personnages, qui ont encore beaucoup de rattrapage à faire.
« J’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié aussi bien que vous le méritez. »
Bilbo Sacquet
À l’occasion du 111e anniversaire de Bilbon, les Hobbits organisent une grande fête digne du personnage aventureux et respecté. Tout le monde attend avec impatience son discours, dont plusieurs parties ressemblent à des blagues à moitié intentionnelles. Cela est particulièrement vrai pour la remarque de Bilbon sur le fait qu’il ne « connaît pas la moitié » des Hobbits « moitié aussi bien qu’il » devrait « aimer », mais il admet qu’il aime « moins de la moitié » d’eux « moitié comme » ils le méritent. .
Seuls Gandalf et Frodon semblent amusés par la ligne effrontée, qui a entraîné un silence gêné qui a encouragé Bilbo à atteindre l’Anneau. La brûlure ombragée n’obtient pas le crédit qu’elle mérite, car c’est une citation pleine d’esprit du vieux Hobbit fatigué.
« Ça vient en pintes? »
Pomme reinette
Lorsque les Hobbits arrivent enfin à l’auberge du Poney Fringant, ils sont déçus d’apprendre que Gandalf n’est pas là. Ils partagent quelques verres et un bon repas, Pippin étant particulièrement intéressé par le grand verre de Merry. Lorsque Pippin demande à Merry ce que c’est et découvre que c’est « une pinte », il demande comiquement « ça vient en pintes? » avant de sprinter vers le bar.
La citation hilarante de Pippin fournit un soulagement comique bien nécessaire, car les Hobbits étaient de mauvaise humeur grâce à l’absence de Gandalf. La remarque naïve et le rire qui s’ensuit ne durent cependant pas très longtemps, car Pippin commet bientôt l’une des nombreuses erreurs qui mettent en danger la vie de Frodon.
« Nous, les nains, sommes des sprinteurs naturels. »
Gimli
Lorsque Legolas, Aragorn et Gimli acceptent de poursuivre le groupe d’Uruk-hai qui a pris Merry et Pippin, aucun d’entre eux ne s’attendait probablement à ce que ce soit « une poursuite de trois jours et trois nuits », surtout pas Gimli. Le nain a du mal à suivre ses compagnons plus agiles, ce qu’il exprime de manière comique en disant qu’il est « perdu en cross-country » et que « les nains sont des sprinteurs naturels ».
La ligne époustouflante est encore meilleure grâce à son commentaire sur le fait qu’il est « très dangereux sur de courtes distances ». Il persévère de toute façon pour le bien de ses amis, ce qui souligne à quel point Gimli est vraiment dur et fort.
« Voulez-vous que je vous trouve une boîte? »
Legolas
Bien que cela ait peut-être commencé comme une rivalité, Legolas et Gimli développent une véritable amitié à laquelle aucun d’eux ne s’attendait probablement. Leurs insultes blessantes les unes envers les autres se sont rapidement transformées en plaisanteries ludiques, ce qui est précisément ce qui se passe lors de la bataille de Helm’s Deep.
Lorsque Gimli demande « ce qui se passe là-bas », Legolas a une réponse cinglante – l’elfe demande à Gimli s’il aimerait qu’il « le décrive » pour lui ou simplement trouver une boîte sur laquelle il peut se tenir. Le dialogue latéral est exactement le genre de soulagement comique dont la séquence tendue a besoin.
« Qu’en est-il du deuxième petit-déjeuner? »
Pomme reinette
Sur le chemin de Rivendell, les Hobbits s’arrêtent pour préparer leur nourriture, ce qui fait faire demi-tour à Aragorn et leur rappelle qu’ils « ne s’arrêtent pas avant la tombée de la nuit ». Pippin est confus par la réponse d’Aragorn qu’ils ont déjà mangé et demande « à propos du deuxième petit-déjeuner ».
La citation relatable devient encore plus amusante lorsqu’il pose des questions sur tous les autres repas que les Hobbits ont habituellement, qui incluent « onze », « déjeuner », « thé de l’après-midi », « dîner » et « souper ». Les Hobbits adorent la nourriture, et Pippin est plus que déçu d’apprendre que ce n’est pas une priorité dans leur voyage.
« Je ressens quelque chose, un léger picotement dans mes doigts. »
Legolas
Lorsque Gimli commet l’erreur de défier Legolas à « un jeu à boire », il apprend que les Elfes n’ont pas le même type de métabolisme que tout le monde. Gimli est vu plus tard à peine capable de former une phrase complète alors qu’il était assis devant une pile de tasses vides, tandis que Legolas commente avec enthousiasme « un léger picotement » dans ses doigts.
Sa joie sincère à l’idée que l’alcool l’«affecte» rend la scène extrêmement divertissante encore meilleure. C’est aussi un moment mémorable que le fandom a partagé et discuté d’innombrables fois depuis lors.
« Nous venons juste de dire bonjour. »
Sylvebarbe
Les Ents sont peut-être parmi les êtres les plus puissants de la Terre du Milieu, mais il peut parfois être frustrant de les affronter. Merry et Pippin apprennent de première main exactement combien de temps il faut « pour dire quoi que ce soit en vieil entish », ce qui est particulièrement gênant lorsqu’une bataille est sur le point d’avoir lieu.
Quand ils affrontent enfin les Ents qui parlent depuis des heures, ils s’attendent à une décision, mais Treebeard raconte lentement comment ils « ont fini de dire bonjour ». La citation amusante est irritante à entendre pour les Hobbits à ce moment-là, car ils savent que la vie de leurs amis est en jeu.
« Cela ne compte toujours que pour un! »
Gimli
La compétitivité de Gimli et Legolas est portée à un tout autre niveau pendant la bataille des Champs du Pelennor, car ils insistent toujours tous les deux pour se surpasser mutuellement. À un moment donné, Legolas abat tout un Olpihant à lui tout seul, et Gimli, émerveillé, ne peut rien faire d’autre que déclarer « cela ne compte toujours que pour un ».
La déclaration idiote se traduit par un moment de rire aux éclats qui souligne l’exploit ridicule et apparemment impossible que Legolas vient d’accomplir. Tout le monde sait que cela compte certainement pour plus d’un, mais, connaissant Legolas, il a probablement honoré la demande de Gimli.
« Po-tay-orteils ! Faites-les bouillir, écrasez-les, mettez-les dans un ragoût ! »
Samwise Gamegie
Les interactions entre Sam et Gollum sont déjà tendues au moment où le Hobbit décide de cuisiner des lapins sauvages au lieu de les donner crus à Frodon (comme le voulait Gollum). Sam remarque que leur ragoût serait bien meilleur avec « quelques bons taters », et est alors enragé par les questions de Gollum – « Qu’est-ce que c’est que les taters? »
La réponse hilarante de Sam l’explique à Gollum, qui a depuis longtemps oublié ce que sont les pommes de terre. Son explosion d’humour en dit long sur la façon dont il est malade et fatigué d’être loin de la Comté et sur ce qu’il serait prêt à donner pour goûter à nouveau à de simples pommes de terre (ou fraises).
