It’s Time to Appreciate the Age of Cage | Features

« Ça pourrait t’arriver »

« Cage et Fonda sont, bien sûr, plus ou moins destinés à tomber amoureux l’un de l’autre, mais Bergman n’aime jamais le schmaltz autoritaire, et tout le film a le même esprit de grande ville enjoué que les gros titres du New York Post qui suivent l’histoire. Le film ne parle pas tant de romance que de bon cœur, qui est une qualité plus rare et pas si égoïste. Et Cage a une certaine douceur qui fait ressortir de jolis sourires doux sur le visage de Fonda.

« Quitter Las Vegas »

« La performance de Cage dans ces premières scènes est un enregistrement très observé d’un homme qui s’effondre. Il montre Ben en train d’imploser, rigide dans sa tentative de garder le contrôle, de sourire quand il ne sent pas un sourire, de plaisanter quand il a envie de crier. Il a besoin d’un verre. Pendant le film, Cage emmènera Ben dans les régions de l’enfer.

« Face/Désactivé »

« C’est le rêve d’un acteur, et Travolta et Cage en profitent au maximum. Ils passent la majeure partie du film à agir comme s’ils étaient dans le corps de l’autre – Travolta agissant comme Cage, et vice versa. Grâce à l’intrigue d’une puce électronique implantée dans son larynx, Travolta serait capable de ressembler davantage à Cage – assez, peut-être, pour tromper le frère paranoïaque du terroriste, qui est en prison et connaît le secret de l’arme biologique.

« Faire sortir les morts »

« Nicolas Cage est un acteur d’un grand style et d’une disponibilité émotionnelle insouciante : il ira n’importe où pour un rôle, et ce film est son meilleur depuis « Leaving Las Vegas ». J’aime la façon subtile dont lui et Scorsese incarnent ce que Frank a appris sur le tas, les petites formules verbales et les apartés silencieux qui aident les spectateurs à souffrir. Il incarne la tragédie d’un homme qui a un travail nécessaire et qui le fait bien, mais dans un travail qui n’est jamais, jamais terminé.

« Adaptation »

« Et Cage. Il existe souvent des listes des grandes stars de cinéma masculines vivantes : De Niro, Nicholson et Pacino, généralement. Combien de fois voyez-vous le nom de Nicolas Cage ? Il devrait toujours être là-haut. Il est audacieux et intrépide dans son choix de rôles, et n’a pas peur de ramper sur une branche, de la scier et de rester suspendu dans les airs.

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