Hystérectomie, endométriose, fibrome utérin : le voile autour de l’hospitalisation de Kate Middleton…
L’atmosphère reste empreinte de mystère au sein de la famille royale d’Angleterre. La discrétion est de mise, une tradition qui ne s’est pas dissipée avec la disparition de la reine Elisabeth II. Actuellement, c’est l’état de santé de la princesse de Galles, Kate Middleton, qui fait l’objet de toutes les spéculations. L’inquiétude est tangible chez les Britanniques ainsi que dans le monde entier suite à son admission à l’hôpital pour une durée inhabituelle de deux semaines, suite à ce que Kensington Palace a vaguement décrit comme une « opération chirurgicale abdominale ».
L’enquête sur la santé de la princesse
Face à l’absence de détails fournis par le palais, une enquête de Paris Match lève un coin du voile. Après consultation avec un gynécologue, le magazine évoque les trois possibilités les plus plausibles pour une telle procédure. Parmi les scénarios envisagés figurent une hystérectomie, une ablation de l’utérus, une endométriose ou encore l’extraction de fibromes utérins ou de kystes aux ovaires.
Interrogations et spéculations médicales
Bien que l’endométriose et l’hystérectomie soient de fréquentes interventions, l’âge de la princesse rend ces diagnostics relativement improbables. Effectivement, l’endométriose est habituellement diagnostiquée plus tôt dans la vie d’une femme, et la princesse a démontré sa capacité à concevoir sans apparente difficulté. Quant à l’hystérectomie, elle se pratique souvent lors de complications liées à la ménopause ou pour prévenir des tumeurs malignes.
Les hypothèses affluent mais l’incompréhension demeure, car la durée de l’hospitalisation de Kate Middleton excède celle généralement observée pour ce type d’interventions. Une hystérectomie ou une myomectomie ne requieren habituellement pas plus de deux jours d’hospitalisation, la convalescence se poursuivant ensuite chez le patient.
Malgré ces suppositions, le voile de la discrétion reste intact, et les doutes quant à la nature réelle du malaise de la princesse continueront probablement de flotter. La couronne britannique, fidèle à ses principes, ne lève probablement jamais entièrement le rideau sur cette affaire médicale de la princesse de Galles.