Emma Stone et Emma Thompson éblouissent dans Disney’s The Devil Wears Prada

Disney fait The Devil Wears Prada en tant que méchante classique de bande dessinée obtient une histoire d’origine ultra tendance et haute punk couture. Emma Stone brûle l’écran en tant que Cruella incroyablement glamour. Le méchant aux cheveux mouffette des 101 Dalmatiens gagne sa réputation ignoble en affrontant un adversaire tout aussi redoutable. La co-star Emma Thompson donne à Meryl Streep l’identité de l’éditeur de Vogue Anna Wintour une course acerbe pour l’argent. Les actrices oscarisées éblouissent dans un film qui manque d’intrigue, mais qui a l’air et sonne incroyables. Cruella ouvre ses portes au milieu des années 1960 en Angleterre rurale avec une mère célibataire et créatrice de mode en difficulté, Catherine (Emily Beecham), élevant une fille espiègle. La jeune Estella (Tipper Seifert-Cleveland) se fait ridiculiser dans son école snob pour ses étranges cheveux noirs et blancs. Elle s’en prend à ses bourreaux en créant un nouveau personnage féroce, Cruella. Lorsque les singeries d’Estella les obligent à déménager, Catherine demande l’aide de son ancien employeur. Une rencontre qui mène à un résultat dévastateur. CONNEXES: Cruella de Disney tient sa première grande première à Hollywood depuis le début de la pandémie Estella se retrouve seule dans les rues graveleuses de Londres. Mais une rencontre fatidique avec deux pickpockets, Jasper (Ziggy Gardner) et Horace (Joseph MacDonald), change sa chance. Le trio devient une famille de voleurs intelligents. Des années plus tard, une Estella (Emma Stone) adulte aspire à être une créatrice comme sa mère. Elle idolâtre la baronne (Emma Thompson), la reine incontestée de la couture britannique des années 70. Lorsque Jasper (Joel Fry) et Horace (Paul Walter Hauser) la poussent à un travail de boutique, la rencontre d’Estella avec la baronne est destinée. Mais elle apprend rapidement la vraie nature de son méchant mentor. Cruella est une fois de plus déchaînée dans une bataille impitoyable avec des secrets de longue date. Cruella est un film bien fait et artistique. La costumière Jenny Beavan (Une chambre avec vue, Mad Max: Fury Road) doit libérer de l’espace sur l’étagère pour un troisième Oscar. Son travail ici est vraiment époustouflant. La guerre de la mode entre Cruella et la baronne est resplendissante avec des costumes époustouflants. Le réalisateur Craig Gillespie (The Finest Hours, I, Tonya) imagine un monde somptueux de la haute couture. Il a de longs plans de suivi où la caméra explore tous les coins et recoins des décors complexes. Couplé à une bande-son ininterrompue de succès anciens, les cinéastes de Cruella plongent le public avec créativité. Le travail des personnages de l’ensemble de la distribution est délicieusement excessif. Les deux Emmas sont à l’avant-plan, mais les joueurs de soutien remplissent habilement leur créneau avec beaucoup de comédie physique. Horace de Paul Walter Hauser, et son chihuahua borgne larcin, m’ont fait hurler de rire. Il est le maladroit dans leurs plans de braquage. Le film a également le premier personnage de Disney ouvertement gay et androgyne avec Artie (John McCrea), un sosie de Ziggy Stardust inspiré de David Bowie. Son rôle est révolutionnaire, mais relativement petit et ne devrait pas être controversé. Les fans de 101 Dalmatiens apprécieront les adaptations en direct des personnages célèbres. Les cloches et les sifflets compensent les déficits du récit. L’intrigue est mince comme du papier avec peu de profondeur. Plusieurs révélations en cours de route ne sont pas trop surprenantes, mais remplissez une trame de fond appropriée si nécessaire. Nous découvrons pourquoi Cruella méprise les Dalmatiens, ce qui fait partie intégrante du personnage et du matériau source. Le film peut durer un peu longtemps et est thématiquement sombre pour les jeunes enfants. Cruella est une production de Gunn Films, Marc Platt Productions et TSG Entertainment. Il sortira le 28 mai simultanément dans les salles et Disney + avec Premier Access. Les opinions et opinions exprimées dans cet article sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de Movieweb.

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