« Doctor Elemental » : la fille perdue de Flash fait face à l’hommage parfait au Doctor Doom de DC
Sommaire
Résumé
- Judy Garrick, la fille du Flash original, apporte un charme comique classique à l’ère moderne avec son style et ses méchants, y compris son ennemi juré, le Docteur Elemental.
- Doctor Elemental est un hommage clair au Doctor Doom de Marvel, les deux étant des personnages masqués avec des gantelets et des masques en métal qui utilisent des tactiques similaires pour obtenir le pouvoir de leurs adversaires.
- L’introduction de Doctor Elemental met en place un conflit entre un héros représentant l’innocence et un méchant qui ne fera qu’empirer avec le temps, ajoutant une touche de nostalgie de l’âge d’argent à l’histoire de la famille Flash.
Fraîchement sortie des pages de Stargirl : Les Enfants Perdus, Judy Garrick, fille perdue du Flash original, apporte une dose de charme comique classique à l’ère moderne à la fois dans son style et dans ses méchants. Doctor Elemental, l’ennemi juré jusqu’ici « oublié » de Jay et Judy, est un appel clair à l’icône des années 60 et méchant majeur de Marvel, Doctor Doom, dont la présence juxtapose des éléments classiques et modernes dans la nouvelle mini-série.
Jay Garrick : The Flash #1 de Jeremy Adams, Diego Olortegui, Luis Guerrero et Steve Wands suit Judy Garrick (the Boom) alors qu’elle lutte pour s’intégrer dans un présent inconnu, n’étant revenue que récemment après avoir disparu de l’existence en 1963. partir en patrouille pour se vider la tête, Judy est rapidement coupée par son père, le Flash Jay Garrick original, et réprimandée sur le fait qu’elle ne connaît pas les dangers du présent, ce à quoi Judy se moque de « quoi ». [could be] plus dangereux que le Docteur Elemental ? » – un méchant dont Jay ne se souvient pas.
Un flashback montre Judy sur le point d’appréhender le méchant, vu comme une silhouette masquée dans un masque de fer, avant de disparaître de la réalité. Avec le départ de Judy, il est sous-entendu que le docteur Elemental a profité de l’occasion pour entrer dans la clandestinité, ses exploits passant inaperçus dans le présent.
Marvel et DC Love Mad Doctors des années 1960
Doctor Elemental est un hommage clair au Doctor Doom de Marvel : ce sont tous deux des menaces masquées avec des gantelets métalliques et des masques menaçants qui ne peuvent apparemment pas supporter que leur visage soit révélé. Même leurs présentations présentent certaines similitudes, chacun faisant son entrée dans le but d’obtenir le pouvoir des héros avant de les étouffer à mort. Dans la première apparition de Doctor Doom dans Fantastic Four #5 de Stan Lee, Jack Kirby, Joe Sinnott, Stan Goldberg et Artie Simek en 1962, il prend Sue Storm en otage pour extorquer les Quatre Fantastiques afin qu’ils fassent ce qu’il veut. Doom tente alors plus tard de les asphyxier. De son côté, le docteur Elemental prend en otage la femme de Jay, Joan, et tente plus tard de la noyer dans un processus d’infusion élémentaire.
L’hommage à la méchanceté de l’âge d’argent semble délibéré, car l’histoire de Judy Garrick parle du passé confronté au présent. Judy apporte une dose d’optimisme bien nécessaire au monde parfois sombre de DC : Jay cite même la Dark Crisis comme exemple du genre de méchanceté à laquelle Judy n’est peut-être pas prête à faire face. En présentant le Docteur Elemental aux lecteurs comme un personnage exagéré et martelé comme le Docteur Doom lors de sa première apparition, cela établit à la fois sa crédibilité en tant que menace viable pour la famille Flash et invite les lecteurs à spéculer sur la façon dont ce chiffre a changé au fil du temps. Cela met en place le conflit entre un héros représentant un demi-siècle d’innocence et un méchant dont on s’attend à ce qu’il n’ait fait qu’empirer avec le temps.
La famille Flash devra affronter le Doctor Doom de DC
La famille Flash a toujours été l’un des héros les plus optimistes et positifs de DC – en particulier Jay Garrick – et donc cette touche de ton plus léger avec Judy et son ennemi juré semble à la fois appropriée et un rappel bienvenu aux manigances de l’âge d’argent (malgré un soupçon d’obscurité moderne). venir). Si la fille de Flash est censée apporter avec elle un peu du charme des années 60 dans le présent, alors il n’y a pas de meilleur ennemi pour elle que la propre version de Doctor Doom par DC.
Jay Garrick : The Flash #1 est désormais disponible chez DC Comics.