Alabama Monroe : Critique et avis du film

Découvrez ma critique du film présenté au Festival Paris Cinéma.

Titre original : The Broken Circle Breakdown
Réalisateur : Felix Van Groeningen
Acteurs : Veerle Baetens, Johan Heldenbergh Distribution :     Bodega Films / Help! Distribution Durée : 1h52 Genre : Drame

Date de sortie : 28 Août 2013

Synopsis : Didier et Élise vivent une histoire d’amour passionnée et rythmée par la musique. Lui, joue du banjo dans un groupe de Bluegrass Country et vénère l’Amérique. Elle, tient un salon de tatouage et chante dans le groupe de Didier. De leur union fusionnelle naît une fille, Maybelle…

Mon avis

**Alabama Monroe **est de loin le film coup de poing et coup de coeur de l’été et les frissons envahissent encore quand on y repense.

Beau, simple et très humain, le réalisateur nous offre une belle histoire, de l’amour, de la vie, des drames, des tatouages et sans oublier une grosse touche de bluegrass, un style un peu country que l’on découvre avec le groupe The Broken Circle Breakdown. Une histoire incroyable en trois parties qui commence d’abord avec la passion, la relation entre Didier et Elise qui se construit pas à pas comme la grande maison où ils habitent et qu’ils vont rénover.

De cette belle histoire entre un cow boy et sa cow girl, naitra la petite Maybelle qui apportera une touche de douceur et d’émotions en plus. Elle est le lien qui unit le couple. Mais la vie n’est pas toujours belle et malgré ce lien, le couple va être mis à rude épreuve et les deux amoureux vont devoir montrer une unité sans faille. Mais ce sont des êtres humains, un couple formé par deux individus aux points de vue différents qui à un moment finissent par prendre le dessus. De l’amour et du rire, on passe des cris et larmes.

Les dernières minutes sont d’une force, le coeur serré on retient notre souffle, les larmes se font sentir. C’est beau et dur à la fois.

On se nourrit de cet amour, on partage les joies et les tristesses de notre couple, on rit, on pleure, on sourit, on chante, on danse, on passe par toutes les émotions et on en veut encore et encore. On est tellement pris par Alabama Monroe qu’il est assez dur d’en parler, les mots ne seraient pas à la hauteur, il faut le voir tout simplement.

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